Acceptation raciale et fondement : Tout comme l’Arbre, qui se met à luire quand Atys est en danger, Lumière d’Atys se réunit quand l’avenir de l’homin est menacé. Tout comme la première fraternité, Lumière d’Atys est un regroupement d’homins issus de plusieurs milieux sociaux et de plusieurs guildes. Nous nous voulons multiraciaux, bien que beaucoup de nos membres actuels viennent de guildes matis. Tous les homins nous rejoignant, répondent à l’appel face à l’apparition de menaces grandissantes, comme les kitins ou les oppositions entre homins. Nous acceptons toute les races d’Atys pour peu qu’ils choisissent de suivre la Voie de Jena et qu’ils reconnaissent nos règles et lois. Nous ne leur demandons pas de prêter serment. Nous voulons qu’ils acceptent de respecter nos lois.
Position face aux kami et à la Karavan : Notre dévouement à la Karavan est complet. Nous la reconnaissons comme intermédiaire légitime de Jena. Nous ferons ce qu’il faut pour lui porter assistance quand elle jugera nécessaire d’avoir recours à nous dans son dessein de préserver l'hominité. Nous cherchons à percer les secrets de sa technologie et à en bénéficier. Ce qui nous élève vers notre Déesse. Tout comme notre ancêtre, nous ne réagissons qu’à l’hostilité des kamis. Ce sont les kamis qui ont volé l’Arbre de Lumière et encore eux qui ont emprisonné la sœur d’Imrael. Notre position face aux kamis est plus une position défensive qu’offensive. Cela peux changer si les kamis ou les kamistes refont ce qu’ils ont perpétré jadis à l’encontre de Prakka et de sa famille.
Un vent de changement a soufflé sur Atys; ces bouleversements ont eu comme conséquence une dépopulation de notre écorce, une envie d'envie de rien qui a entrainé un affaiblissement de certaines guildes, une chute de motivation chez beaucoup d'entre nous.. Chacun, nous avons vecu ces instants, gouté a cet air de malaise sous jacent de maniere differentes. Dès lors, une constatation est devenue évidente: IL FALLAIT REAGIR!!! Et cette reaction a pris la forme d un formidable mouvement collectif, concrétisé par un embleme, un nom: La Lumiere d'Atys La Lumiere d'Atys, une guilde pensée par une communauté de joueurs désireux de mener une guilde qu'ils ont toujours voulu: dynamique, organisée, agréable, et se voulant jouer un role dans l'avenir de notre monde: Un appui pour la Karavan pour faire face aux seriterus des Kamis. Une guilde ou chacun peut s'exprimer, prendre une part active, sans discrimination de niveau, de race ou d'occupation, tant que son entrain et sa bonne humeur sont au service des autres; où l'entraide, la solidarité, de meme que l'investissement et la tolerance seront les credos Voila ce qu'il y a derriere cet embleme, ce nom... Si vous patagez ceci, vous etes les bienvenus, chers homins, afin que votre personalité, conjuguée à ces valeurs, définissent notre avenir...
Notre guilde est issue des descendants de Prakka et d’Imrael, nos ancêtres spirituels. Bien que légendaires, ces personnages ont laissé des traces dans l’histoire d’Atys. Dans notre histoire. Tout comme eux nous suivons les préceptes de Jena. Nous pensons que l’Arbre de la Lumière d’Atys est un don de la Déesse Jena à une lignée qui devait avoir un grand destin sur Atys. Les légendes disent que c’est à Eleisontae que revient la création de cette merveille. Nous pensons que c’est Jena qui à guidé la main d’Eleisontae pour créer l’Arbre de la Lumière d’Atys. Et que c’est Jena qui a guidé Prakka jusque dans la maison d’Eleisontae.
Notre guilde reconnaît les gouvernements en place et travaillera avec eux. Nous espérons un retour rapide du Roi Yrkanis sur le trône matis. Nous respectons la république Tryker et reconnaissons la liberté de ce peuple. Nous ne nous opposons, ni aux peuple Zorai, ni au peuple Fyros en tant que tel. De par nos origines matis principalement, il est probable que nos relations avec ces deux peuples soient plus difficiles mais nous ne sommes pas agressifs envers eux.
Application du Traité de Paix de Fairhaven de 2515, de l'Accord de Libre-échange d'Hoï-Cho de 2516, des Droits de l'Homin de 2518. Nos ambassades sont ouvertes aux guildes et amis qui partagent nos idées pour la prospérité d'Atys. Des alliances sont forgées et on déjà prouvés à maintes reprises leur valeur, ne demandant qu'a s'étendre et s'épanouir. Nous prônons la paix plutôt que la recherche de conflit inutile. Mais nous ne restons pas inactifs face à l’adversité.
Notre organisation se veut souple et évolutive en fonction des besoins du moment. Notre guide, élu à vie, porte le titre d’Eleisontae, en l’honneur du créateur de l’Arbre. Un conseil, composé de quatre responsables de métiers est lui aussi élu à vie. Cette partie de notre hiérarchie reste fixe afin de disposer d’une certaine stabilité. Nous voulons de la stabilité, mais nous ne sommes pas des conservateurs. Pour pourvoir à la vie de tous les jours, nous effectuons des élections chaque mois. Les postes proposées lors de ses élections ne sont pas fixes. Cela afin de répondre aux éventuels évolutions et besoin de la guilde. Chaque membre peut jouer un rôle actif dans de la vie de la guilde. Cela est même fortement recommandé. Un responsable est nominé afin de coordonner les diverses actions. Mais tous ont leur mot à dire.
Tous nos membres sont des membres actifs à part entière. Nous formons une fraternité et, en tant que tel, nous prônons la coopération et l’entraide. Nous nous voulons être une guilde active. Politique d’Atys, rencontres diplomatiques, artisanat, explorations, prospection, expéditions, animations, autant de sujets qui nous passionnent et dans lesquels nous nous investissons.
Nous faisons partie du Conseil des Maisons Matis depuis sa création et nous sommes la guilde fondateur du Traité de l'Alliance des Graines vertes
Un homin entre. Il laisse vagabonder son regard et observe la pièce où il se trouve. Elle est circulaire et spacieuse. Quelque débris de verre laisse supposé la présence de décoration subtils et magnifique. Au centre de la pièce, subsistent des écrits éparpillés sur une table circulaire. Un carreau baille, laissant entré un courant d’air froid. Rien ne laisse présager que ce fut tenu ici des assemblés et des cérémonies. Rien ne laisse supposé que les espoirs des homins a surgit de cette pièce.
L’homin pose son sac prés de l’entrée, pénètre alors plus avant dans la pièce et s’avance jusqu'à la fenêtre. Il jette un regard sur la forêt environnante. Son port laisse entrevoir la grâce de son visage. Le vent balai ses long cheveux blonds. Les yeux fermé, il soupir. Il soupir en pensant au fracas des armes. Il soupir en se souvenant que c’est la puissance de Ces être qui a pu tout détruire ce que les homins ont construit. Il sait qu’il doit partir rejoindre les siens avant l’anéantissement de son espèce. Enfin les siens. Plutôt ce qu’il en reste. Dame Lineyl, dernière descendante d’une longue et valeureuse lignée. Elle est la dernière, rescapée d’un massasse sans précédent.
En regardant au loin il aperçoit de la fumée. Sans doute encore un village qui brûle sous les coups des kitins. Un rayon de soleil perce des nuages. Il laisse entrevoir le visage du guerrier. De nombreuses cicatrices le couturent. Fraîches pour certaines issu des griffes de ces monstres, les kitins. D’autre bien plus ancienne mais non moins tout aussi terrible. Toutes elles racontent que ce matis est toujours la. Toujours la pour servir Dame Lineyl. Pour servir l’Arbre. Pour servir la Lumière.
Le guerrier lasse, ferme la fenêtre, ramasse une chaise, remet la table en place et ouvre un livre jeter dans un coin. Il commence à lire. A lire pour se souvenir de sa vie. De pourquoi il s’est battu au coté de ses frères, mort maintenant. En d’autre temps, dans cette même salle avais lieu les réunions du conseils de la Lumière. Parfois pour des affaires graves. Parfois pour des réjouissances. Mais toujours, dans la communion de la Lumière de Jena. Il lit et le livre lui parle de sa vie. Le livre commence ainsi.
« Voici le récit d'un vieil homin.............Cette histoire, elle m'a été racontée alors que je peinais à trouver le sommeil par une nuit sans lune.....Elle m'a été racontée de cette manière, tout de go à l'instar d'un conte.
L'aventure se passe en un temps que ne connaît la mémoire des réfugiés. À la grande hégémonie de Matia. Vivait dans les collines de la souffrance, au milieu d'arbres millénaires, un vieil homin nommé Eléisontae, un botaniste de renom mais tellement ermite que tout les enfants du village en avait peur. Certains le pensaient fou et d'autres......possédé par un démon. D'un blanc immaculé, ces cheveux hirsutes recouvraient la bonne moitié de son visage et ses lèves blanchâtres, ternies par le poids des années donnaient à son visage une expression neutre et du coup....terrifiante. A Hontae, le petit village régnait un duc du nom de Kalis, un homme infâme qui n'avait de Matis que le sang. Le pauvre avait perdu toute élégance au fil des ans et passait le plus clair de son temps à boire et à fréquenter les maisons closes royales.
Dans sa folie des grandeurs, le duc fit ordonné que l'on construise la plus grande des maisons arbres en son honneur. Pour cela, il fallait couper plus de milles arbres ! Aussi la plus part des homins furent réquisitionné a cette taches et durent couper un à un les arbres de la forêt de telle façon qu'il fallut couper aussi la maison d'Eléisontae. Ce dernier n'était pas prévenu et risquait de se faire déloger dans les semaines à venir. C'est la qu'intervient notre héro principal, un tout jeune matis du nom de Prakka ! Ce dernier, dans sa grande homanité, et faisant fi de toute peur alla voir en personne le vieil ermite pour l'avertir du grand désastre. Prakka arrive au seuil de la maison arbre et frappe a la porte : Eleisontae d'une voix haletante - Qui vient la ? Faites demi-tour et ne revenez plus jamais ou je vous jettes un sort Prakka qui était plus téméraire que malin n'en tient pas rigueur et répondis tout de suite : - je n'ai pas peur de vous.......et je n'ai pas peur de la magie D'un air étonné - Parts je t'en pris petit homme -mais....mais....votre maison va être abattu.... - .....Je le sais et je partirais avec elle s'il le faut...... Quelques minutes passèrent sans que les deux Matis ne prononcent un mot puis soudain Prakka entendit le bruit grinçant d'une serrure. Klik klik klik.....
Des lors que Prakka fut rentré dans la maison il senti une chaleur incroyable, un sentiment de douceur et de bien être qu'il n'avait jamais ressenti auparavant .Le vieil homin, tel qu'on l'avait décrit respirait au contraire la bonté et la générosité. Ca, Prakka le senti tout de suite ! Ce qui surpris le plus le petit matis c'est une lumière forte qui ressortait du dessous d'une des portes. On aurait dit la lumière de la vie et Prakka compris très vite que la béatitude dont il étai investi venait d'ici. Eléisontae l'invita à prendre le thé de Cratcha insistant sur le fait du grand courage du pourtant si petit homin. Ils devinrent vite amis et les visites de Prakka furent de pus en plus fréquentes. Jusqu’au jour......Où le vieillard lui confia le plus grand des secrets. Il fit entrer Prakka dans la fameuse pièce......Au milieu de la pièce, dans une lumière cette fois ci éblouissante la plus belle des plantes qu'il fut possible d'imaginé ! L'odeur et la lumière dégagées emplirent vite les poumons du petit et ce dernier se senti des lors l'homin le plus fort du monde. Eléisontae - Prakka, j'ai aujourd'hui 300 cycles, Prakka regarda l'homin submergé (comment était-il possible de vivre aussi longtemps ?). Je vais bientôt rejoindre Jena et ma maison va être rasée.......Je vais te confié la plus grande des tâches, la quête de ta vie entière....Tu dois garder cette plante à tout prix ! Tu ne devras la montrer à personne car elle susciterait bien trop de convoitises et toi même, tu ne devras t'en servir qu'à des fins bonnes. C'est l'oeuvre de ma vie, une manipulation génétique subtile dont le résultat est la force et la longévité. Je ne sais pourquoi mais lorsque notre écorce se porte mal, que les conflits font rages, elle se met à briller comme pour rétablir un équilibre secret. Je l'ai appelé "La Lumière d'Atys". Prakka
- Je...je...je ne sais pas... Eleisontae
- Je sais que tu es la bonne personne..... Tu n'as pas besoin de le dire..... Un autre légende raconte qu'un dénommé Prakkatae lutta de toute sa force contre le mal d'Atys, on raconte que ce dernier avait un courage et une force surhomine et que sur l'écorce vivent plusieurs enfants de sa descendance mais nous n'en savons pas plus... on les appelle parait-il "les Lumières d'Atys"................. »
Fermant un instant le livre, le guerrier soupir. Que d’histoire qui s’efface en un instant. Comme si Atys elle-même voulait rappeler ses enfants à elle.
Se levant un instant le guerrier marche dans la pièce du conseil. Sur un mur subsiste les restes d’une tapisserie. Celle ci est déchirée de toute part. Pour avoir passé de nombreuses heures dans cette salle, le guerrier se souvient de la scène représentée sur cette fresque. Elle raconte les légendes d’Eleisontae et de l’Arbre, les légendes de Prakka et de la création de la confrérie.
Sortant de sa contemplation, il réajuste son haubert scintillant. De son sac posé à coté de l’entrée, il extrait une vasque. Il l’ouvre et boit une longue gorgée. Ainsi rafraîchit, le guerrier retourne à ses lectures. Tournant la page, il reprend et vit ceci :
« L’on raconte que dans la forêt où Eleisontae donna cette arbre magique, Prakka y vécu pendant de longue et longue année, l’arbre lui conférant une vie bien supérieur à la vie des autres homins. Prakka rendit cette forêt, sa forêt en somme, plus belle et plus verdoyante qu’aucune autre.
Dans son jeune temps, la main de l’homin tenta de prendre possession de la forêt où Prakka vivait. Ne sachant comment faire pour protéger la forêt, il se dit que l’Arbre pourrait l’aider. Il se souvenait des enseignements de son maître et des avertissements face à une utilisation négative de la Lumière. Mais il se dis aussi que la protection de l’Arbre doit aussi inclure la protection de la forêt qui les entoure et les fait vivre. Cette décision prise, il entra dans la pièce où la plante magique se trouvait. Il s’assit en tailleur et se mit à réfléchir. Alors qu’il n’avait formulé le moindre souhait, des images commencèrent à affluer dans son esprit. Au début, cela ressemblait à des défilements d’images sans queue ni tête, sans lien entre elle. Comme si des milliers et des milliers d’étoiles défilaient dans sa tête à une vitesse folle et inimaginable par le jeune matis. Puis les images ralentirent pour se concentrer en une seule sphère brillante et attirante. La lumière se brouilla puis une vision revint sans cesse. Une vision de plantes au proportion gigantesques poussant et grandissant jusqu’à faire disparaître un objet cubique. La vision sembla durée un instant. Prakka ouvrit alors les yeux. Au loin le jour se levait. Il avait passé une journée. Une journée complète dans la pièce avec l’Arbre. Comprenant le message suggéré par la Lumière, il sortit. Il mit à exécution l’idée reçu. Pour ne pas que les homins passant dans la forêt aperçoivent la maison, il fit poussée les plantes autour de la maison. Si bien qu’une fois la croissance de celles-ci finies, la maison était invisible a qui n’observait pas avec attention. Afin de parfaire son travail, il retourna voir l’Arbre et s’allia à la Lumière pour rendre la maison et une partie de la forêt repoussante pour les homins. Ainsi, la forêt fut protégée et Prakka pu y vivre pendant de nombreuses années.
Son isolation ne fut pas vaine. Il apprit beaucoup de choses et élucida beaucoup de mystère avec l’Arbre. Tirant connaissance pour développer sa forêt, utilisant sa puissance pour rendre le monde plus beau. Il cultiva de grand talent d’artisan et fit de nombreux essai pour créer les plus belles armes et plus belles armures imaginable et inimaginable. L’on dit que l’Arbre lui expliqua comment rendre vivantes ses créations. Il commença alors par érigeait une bâtisse plus importante. Il la fit poussée, tel un champignon géant, et dans lequel il creusa des pièces. A l’aide de fourmis il créa un système d’irrigation constant de la plante. Cela lui permit d’étendre les dimensions de son logis à tout instant. Dans les racines du champignon, il créa une pièce pour la Lumière. Par un système ingénieux inspiré des guêpes, il créa des ventilations permettant de laisser passer à la foi l’humidité, la lumière et la chaleur de l’Arbre. Si bien que partout où qu’il se trouvait, la lumière douce l’accompagnait. Vivant intelligemment avec sa « demeure », il laissait les animaux s’installaient dans les racines, les pièces où les ventilations. En échange de quoi, ceux-ci le débarrasser de ces déchets alimentaires. Il n’était donc pas rare de voir des colonies de fourmi migrer d’une pièce à l’autre. Il construisit aussi un jardin splendide, où chaque plante rivalisait de couleur avec sa voisine.
Le temps passa pour Prakka. Et comme pour son vieux maître, les années s’écoulaient doucement. Régulièrement, il partait de sa demeure en champignon pour plusieurs jours. Dormir à la pleine étoile était pour lui un plaisir. Et sentir le contact avec la nature, vitale. Au bout de la cinquième journée d’une de ses escapades, il prit la route du retour. Arrivant prés de sa maison champignon, il alla regarder si ses dernières boutures de plantes avaient prises. Au détour de son logis, il trouva une plante un peu particulière non issue du fruit de son travail. Une jeune homine endormie au creux de son arbre maison. Cela faisait des années qu’il vivait seul dans la forêt d’Eleisontae. Et voir un être de sa race ainsi blotti contre sa maison le laissa sans voix. Ses cheveux noirs comme le jais était couvert de boues. Et sa défroque, ne pouvant plus parlé d’habit dans l’état des choses, était pouilleuse. Prakka, rentra dans son logis et pris une couverture. Il recouvrit ainsi l’homine qui dormait. Il s’assit sur une branche d’un arbre proche et l’observa toute la nuit.
Au petit matin, l’homin se réveilla. Surprise de trouver une couverture sur elle, elle se leva prestement. Une voix s’éleva au alentour. - Bonjour jeune demoiselle. Qu’est ce qui vous permet de dormir sur ma maison ? » Sursautant, elle chercha la voix. - Montrez vous, dis-t-elle, vous qui habitez dans une forêt qui n’existe pas. Cela fait plusieurs années que je vis non loin de là et je n’ai jamais vu cette forêt ! » Une nouvelle fois la voix s’éleva, mais ne vint pas du même endroit. - Pourquoi me montrerai-je à une personne qui viole cette forêt. Forêt qui plus ai que vous n’étiez pas sensé voir. Comment êtes vous arrivez ici. » - Le jeu des questions maintenant. Très bien je ne suis pas pressé, je n’ai nulle part où aller. » Au fil de leurs discutions, l’homin compris que Prakka se cachait dans les arbres. Elle ne lui demanda plus de se montrer. Et plus il lui posé des questions plus elle appréciait cette voix qui venait de nulle part, et qui se donnait un mal fou pour changer constamment de lieu et de branches. Prakka appris ainsi que chassée par les siens, elle alla se protéger d’une pluie violente dans une forêt avoisinante. Sans le savoir, elle avait pénétrait dans la forêt d’Eleisontae. Pour une raison inconnu, le charme n’eu pas d’effet sur elle. Pénétrant plus profond dans la forêt, elle s’endormi affamé et épuisé sous un arbre gigantesque offrant protection. Au petit matin, la pluie avait cessé. Sa tribu l’ayant chassé, elle s’était décidait à rejoindre une ville proche, pour y exercer ses talents. Ne sachant quelle direction prendre, elle se leva et suivi son instinct. La jeune homine ne savait rien de la nature de la forêt et elle marcha pendant plusieurs heures. Où que ses pas la menaient, elle ne trouva jamais comment sortir de la forêt. Alors que la deuxième nuit tombait sur la forêt, elle retrouva le même arbre. Inquiète et ne comprenant ce qui lui arrivait, elle s’assit au creux de l’arbre gigantesque et s’endormit de nouveau. Au bout de la troisième journée, elle commençait à perdre espoir de trouver la sortie. Bien quel ne mourrait plus de faim grâce aux baies abondantes, elle était inquiète. Prakka écouta son histoire. Il dévoila aussi un peu de la sienne. Que la maison où il vivait était sa création à base de plante. Qu’il vivait ici depuis fort longtemps. Et que cette jeune homine était la première à visiter cette forêt de puis de très nombreuses années. « Vous devait être grand magicien pour cachée ainsi une forêt entière. - Vous en sauriez imaginée à quel point cette forêt est cachée. » Sans autre forme de procés, il fit rentré dans sa demeure l’homine dont il ne connaissais sinon un grand charme.
L’homine resta dans la demeure de Prakka pendant plus de 50 années. Elle se nommait Leïla. Prakka ne comprit jamais pourquoi elle resta ainsi avec lui dans la forêt enchantée. Elle etait souvent silencieuse, regardant son homin parcourir les bois alentours. Parfois, elle l’aidait à rendre la forêt plus belle que ce qu’elle n’était déjà. Elle donna à Prakka quatre enfants. Quatre enfants béni par la Lumière de l’Arbre. L’ainée, Galima, grande brune élancée, fière et douce à la fois. Très vite elle montra un intérêt grandissant à exercer les soins sur les créatures vivantes. Le second Cinwen était un pisteur hors pair. Grand amateur de chasse, au désespoir de son père. Namrod, le troisième avait l’esprit le plus vivace et le plus à même à manipulé les objet. Plus tard ses talents l’amenèrent à créer de magnifique armure et arme. Son frère Cinwen était d’ailleurs heureux des talents de Namrod. Le dernier Irmael était un doux rêveur. Passant plus de temps dans les arbres, il ne souhaitais juste partageais chaque instant dans la nature.
Les années passèrent. Mais le don de l’arbre ne fut pas accordé à Leïla.Et l’âge la rattrapa. Voyant cela, Prakka rentra en communion une ultime fois avec l’Arbre. Il vit alors qu’une et une seule personne, gardienne de l’Arbre, pouvait bénéficier de ce don. Prakka décida alors de renoncer à son rôle de gardien car, si Leïla disparaissait et qu’il restait, il ne pourrait vivre que dans la peine et la douleur. Regardant ces enfants sous la Lumière, il choisi Imrael comme successeur. Quelque temps plus tard Leïla et Prakka quittèrent la forêt enchantée.
Arkandre
Boby
Bratakk
Cylchurh
Jah
Kain
Kehl
Leberny
Maddie
Matsu
Rizze
Sehlly
Strigger
Talaria
Tooms
Yento