De EncyclopAtys
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<br />'''Les lames di Matia''' | <br />'''Les lames di Matia''' |
Version actuelle datée du 19 juin 2019 à 08:41
Ambre personnelle | |
Dalcini Civallo | |
Ménestrel | |
Race | Matis |
Sexe | |
Nation | Matis |
Organisation | |
Culte | Kamisme jenaïste |
Faction | |
Guilde | Maison Aquilon |
Rang | |
Naissance | |
Décès | |
Mère | |
Père | |
Fratrie | |
Conjoints | |
Enfants | |
S'il vous plaît, préférez plutôt le modèle {{template:Homin}} |
Sommaire
Biographie
Jusqu'au second Essaim
Dalcini Civallo, parfois surnommé Dalcia, est le fils d'une musicienne de province, Cuinia Civallo.
Lorsqu'il intègre le service du Duc Riditch di Aquilon, il fait son entrée à la capitale des Sommets Verdoyants.
Longtemps dans l'ombre de son maître, Dalcini est remarqué par la Reine Lea Lenardi lors d'une promenade à travers les Jardins Majestueux. Il devient alors son Ménestrel, tâche qu'il s'appliquera à remplir jusqu'au Second Essaim.
Agressé par une membre du Mouvement d'Azaen, Dalcini est finalement sauvé de ses blessures lors de l'Exode par un secouriste nommé Zo'ro Argh. Il en garde néanmoins des séquelles et ne peut plus pratiquer son art.
Source : http://app.ryzom.com/app_forum/index.php?page=topic/view/13541
Depuis le second Essaim
Dalcini n'est plus paru en public depuis de nombreuses années. Il se murmure qu'il se consacrerait désormais entièrement à l'éducation de Clavello, le fils du Duc Riditch di Aquilon et de son épouse Eloira.
Poèmes
L’ensemble de l'œuvre de Dalcini Civallo appartient à la poésie Matis en stances et peut être consultée dans le Recueil de Poésie Matis, rassemblant les œuvres des Ménestrels de la Cour de la Reine.
Source : http://app.ryzom.com/app_forum/index.php?page=topic/view/13748
Odes
Dalcini a composé plusieurs odes en l'honneur de la Maison de la Reine Mère, Lea Lenardi, dont il était le Ménestrel.
La Feuille di Bravichi
Prestigieux durant l'Exode,
Son illustre raffinement,
D’architecte du Vivant,
Lui valut bien d'autres odes.
Que soit béni le martyre,
Même si d'Embaumement,
Le priva, l'odieux Tyran,
La déférence, il nous inspire.
Serae Lea Lenardi,
Ô Reine de noble lignage,
Qui perpétue l'héritage,
De la Feuille di Bravichi.
La Rotoa di Bravichi
En chacun des lieux d'Atys,
Les enfants de notre Mère,
Écouteront le chant clair,
Du raffinement Matis.
Que la douce Rotoa,
Dont résonne le bruissement
Adoré jusqu'à Zora,
Fasse taire tous nos tourments.
Et les litanies anciennes,
Appellent de leurs suppliques,
L'épanouissement de la Reine,
Et de l'esprit esthétique.
La Reine Mère
Née d'une illustre lignée
Sa noble sève Matis
N'empêcha pas le supplice,
En sa Maison, de frapper.
Le courageux Bravichi
Fut soumis à la question
Et vit rougeoyer les tisons
Qui endeuillèrent son Pays.
Sur ordre du Régicide
Ne demeure du Botaniste,
En sa Maison, aucun fluide.
Seule sa création persiste.
L'immense valeur de sa sève,
Lea n'a pas oublié.
Devenue Reine des Sommets,
Elle assura sa relève.
L'espérance d'un peuple entier,
Le royal écrin révéla,
Perpétuant la volonté
De notre Déesse Jena.
Louée soit la Reine Mère,
Qu'elle guide notre inspiration,
Et que jamais ne s'altère
La mémoire de sa Maison.
Poésie courtoise
La littérature courtoise tient une place importante dans la tradition Matis. Les poèmes suivants font respectivement allusion à l'amour contrarié du Tyran Jinovitch, et à l'astre Sagaritis que l'on se plaît à admirer les nuits où nous nous languissons.
Virginia
Ô Virginia. Ses charmes
Ont bouleversé l'histoire,
Fait retentir les armes,
Donné la soif du pouvoir.
Ô Virginia. Ses larmes
Ont bouleversé l'histoire
Et corrompu une âme,
En éteignant l'espoir.
Ô Virginia se pâme
Et donne à entrevoir,
Aux chastes et gentes Dames,
Sa chute, derrière ses fards.
Le serment de Sagaritis
Atys et Sagaritis
Jamais ne pourront s'aimer,
Le sort voulut qu'ils ne puissent
Aucune étreinte consommer.
La dryade a fait serment
De chérir l'arbre-vie
Et de périr avec lui,
Au terme de leur tourment.
Émue par ce chant funeste,
La génitrice éternelle
Para d'un anneau céleste
La dévotion de la belle.
Poésie épique
Peu avant le Second Essaim, la capitale Matis, fortifiée par la Karavan, a été assaillie par des vagues successives de Kitins. Ayant abdiqué au profit de son fils, Yrkanis est apparu, sans couronne, pour prendre la tête de son armée. Assistant à cette bataille, Dalcini s'est essayé pour l'occasion à la poésie épique pour célébrer la gloire de ce grand souverain Matis.
Les lames di Matia
Enfants de la Lumière,
Contre la vile engeance,
Qui des tréfonds s'élance,
Portez vos lames fières !
Béni soit l'ancien Roi,
Qui de l'art de la guerre,
Maîtrise le savoir-faire
Et nous guide de son bras !
Portés par la bravoure
D'Yrkanis di Matia,
Allons à notre tour,
Au devant des combats !