La N'ASA | Sciences | Atysologie | Hominité | Kitins | Goo |
talum, nirila, tseu, sella.
La Nouvelle Académie des Sciences d'Atys[1], issue de l'ASA dissoute après le second essaim, a été créée par le fondateur de la guilde Hoodo. La charte de l'Académie en est un héritage. Néanmoins, la N'ASA ne dépend pas de la guilde Hoodo : elle est et doit rester atysienne et est sous l'égide des Rangers d'Atys telle que l'a voulu son fondateur qui la souhaitait utile à tous les Atysiens sans distinctions, et indépendante de tout pouvoir. En aucun cas elle ne doit se substituer aux académies des autres nations et éventuelles nouvelles populations (comme les Maraudeurs), mais elle a vocation à provoquer des synergies, exprimé dans sa devise:
Discours inaugural de Quarta, Nivia 10, 2e CA 2561[2]
“Bonjour amis et collègues,
De jour en jour, la situation empire sur notre planète avec les menaces de la Goo, des Kitins.
Pourtant, je suis convaincu que nous pourrons vaincre ces fléaux plus efficacement par la science que par d'autres méthodes qui n'ont pas toujours montré leur efficacité.
C'est pourquoi j'en appelle à la commission TENANT, aux anciens émissaires de la paix ainsi qu'à tous mes amis et collègues scientifiques pour créer une académie des sciences Atysiennes, neutre et publique.
Ses buts initiaux seraient :
- Analyser la Goo pour mieux comprendre ce dont il s'agit et éventuellement comment non seulement soigner Atys et les Atysiens, mais aussi la maîtriser pour le notre bien-être à tous.
- Approfondir l'étude des Kitins et comme le disait un grand général zoraï du passé (vraisemblablement du nom de Sun'Zu[3]) : savoir transformer un ennemi en allié.
- Les deux points précédents sont déjà à l'honneur chez les maraudeurs et, selon la rumeur, les rendent invincibles.
- Enfin, continuer à étudier la technique des flyners pour la surveillance d'Atys : mouvement de la Goo, déplacement de kitins et autres catastrophes comme des incendies.
- Un quatrième pan de recherche peut être fructueusement ajouté : l'archéologie pour retrouver des traces de nos civilisations perdues, ce qui nous aiderait peut-être dans les trois axes de recherche précédent.
Vos idées et votre participation sont bienvenues.
Merci pour votre attention et votre collaboration.
Elle contient trois lois, dans l'ordre d'importance:
Tout Atysien, sans exception, a le droit de s'exprimer dans la N'ASA. Cela implique que les conflits qui opposent les homins soient mis au vestiaire dès l'instant où ils rentrent dans les locaux de la N'ASA. (Il va de soi qu'il ne sortent pas leurs armes. Les amplis, utilisés comme trousse de soin sont cependant tolérés.) Cela a pour conséquences :
La N'ASA peut héberger des chercheurs ou des victimes d'expérimentations obligés de fuir.
Toutes les décisions au sein de la N'ASA sont consensuelles, même les modes de choix exceptionnellement mis en place le sont par consensus. En cas d'urgence et en l'absence de consensus, on peut recourir au hasard.
Tronc et branches de la N'ASA
Le tronc comprend le président, son alter ego et d'autres homins (au moins trois) afin de représenter les quatre nations, les factions et les neutres.
Elles permettent :
Elles ne sont pas obligatoires, car il est connu que de nombreux chercheurs et aventuriers fuient les réunionites. Les rapports de recherche peuvent être communiqués par Izam. Ces rapports permettent entre autres de demander de l'aide (diplomatie, garde rapprochée, évènements divers...)
Les réunions se font en période non multiple de 7 jours (30 actuellement) pour permettre à tous les chercheurs d'être présents (certains d'entre eux ont des contraintes récurrentes). L'horaire devrait aussi pouvoir s’accommoder pour les Atysiens vivant très très loin (comme le Cas-Nada, l'Âme-Érik, Lorient, etc.). Donc il faut utiliser de préférence l'heure GMT( Green Mount Time, c'est-à-dire l'heure moyenne au niveau de l'observatoire royal des Sommets Verdoyants)
Le président de réunion gère l’enchaînement des points de l'ordre du jour. Dans ce but il attribue le temps de parole aux différents orateurs.
Chaque orateur est libre et responsable de son temps de parole, c'est à dire que c'est lui qui gère les questions-réponses. À la fin de son temps de parole, il remet explicitement la parole à celui qui le demande sinon au président qui enchaînera sur la suite du programme.
Ce dernier n'intervient que s'il y a conflit (pour calmer et non pour choisir) ou pour limiter, voire interrompre, un thème en cours d'exposition/débat qui semblerait trop long ou stagnant. Dans tout les cas, cette interruption doit être consensuelle.
Pour éviter le brouhaha, il est recommandé de lever la main, même pour le président.