La N'ASA | Sciences | Atysologie | Hominité | Kitins | Goo |
talum, nirila, tseu, sella.
L'Académie de Sciences d'Atys (ASA) fut créée par la guilde Hoodo au lendemain de la création de la commission TENANT[1], et s'était donné pour mission d'assister cet organisme sur le plan de la recherche scientifique à la fois avec objectivité et efficacité.
Après le second Essaim, pour intégrer l'apparition de nouveaux dialectes sur Atys, la l'ASA prit le nom de
N'ASA
(Neu/New/Nueva/Nouvelle/Новая ASA)
La N'ASA était hébergée sous les toits de la guilde Hoodo qui avait ouvert ses portes au public. Mais des maraudeurs (en fait, plutôt des bandits déguisés en maraudeurs) avaient attaqué les labos, aussi nous avions été contraints d'en limiter les accès. Seuls les membres du tronc en possession d'une clé pouvaient y travailler. Cette clé s’obtenait auprès des membres du tronc de la N'ASA[4].
Ces labos peu accessibles aux autres chercheurs ne correspondaient pas à l'esprit d'ouverture initialement donné à la N'ASA. Peu à peu pendant que les Rangers d'Atys s'organisaient, une fine sciure venait se poser sur les pages du labo.[5]
Mais un nouvel espoir renaissait et voyait jour... Ce fut long, mais peut-être que la N'ASA pu renaître comme organisme de recherche au sein des Rangers garants de sa neutralité.
J’ai décidé de clore définitivement la N’ASA après m’être battu très longtemps pour essayer de grandir l’Hominité pour que les Homins vivent mieux, et utilisent la symbiose entre eux en augmentant patiemment la connaissance de tous par l’apport de tous, en se respectant mutuellement, conscients qu’aucun d’entre eux ne détient La Vérité (même nos sacro-saints Kara et Kami se la déchirent). Pour arriver à travailler ensemble, cela impose de pouvoir accepter que chacun possède au moins une étincelle de vérité, voire de questionnement qui mérite d’être partagé. Cela impose d'écouter avant de juger sans savoir de quoi il s'agit. Or il me semble que ces conditions n'étaient pas ou n'étaient plus réalisées ni réalisables
Je ne passe pas le flambeau de ce que j’ai créé. À qui ? Même les officiers supérieurs des Rangers n’étaient pas en faveur de nous aider s’ils n’étaient pas opposés. Dans quelle logique ? Je ne comprends pas, je ne comprendrai sans doute jamais. Ce n’est pas du pacifisme passif, ce n’est pas de l’hégémonie ni de pensée ni de culture. Alors qu’à l’origine de la N'ASA, de grands sages Zoraïs, de grands savants Matis, de géniaux Fyros, d’astucieux Trykers doués pour la modération et la conciliation constituaient les membres actifs de la N'ASA. Nous avions même eu le plaisir de voir venir des Marauders, certes avec une méfiance réciproque, mais au moins une certaine curiosité. Nous n’avions pas besoin des Rangers à l’époque…
La politique ne m’intéresse pas. Je ne la condamne pas, ce n’est tout simplement pas ma voie. Je crois que construire est plus difficile que détruire, aussi, je repousse autant que possible toute agression comme ultime recours mettant en avant le partage du savoir pour mieux avancer vers une solution gagnant-gagnant. J’ai voulu contribuer à cet idéal, à cette utopie, j’ai échoué. J’ose espérer que c’était uniquement moi qui n’étais pas à la hauteur. La sagesse et la science m’imposent de garder les yeux ouverts, de ne pas céder à l’entêtement et de ne même pas verser une larme en fermant définitivement la N’ASA.
La Nouvelle Académie des Sciences d'Atys, issue de l'ASA dissoute après le second essaim, a été créée par le fondateur de la guilde Hoodo. La charte de l'Académie en est un héritage. Néanmoins, la N'ASA ne dépend pas de la guilde Hoodo : elle est et doit rester atysienne et est sous l'égide des Rangers d'Atys telle que l'a voulu son fondateur qui voulait que l'organisme servent à tous les Atysiens sans distinctions, et ne soit dépendant d'aucun pouvoir. En effet, en aucun cas elle doit se substituer aux académies des autres nations et éventuelles nouvelles populations (comme les Maraudeurs), mais elle a vocation de fédérer et de provoquer des synergies ce qui est exprimé dans sa devise:
Tout Atysien, sans exception, a le droit de s'exprimer dans la N'ASA. Cela implique que les conflits qui opposent les homins soient mis au vestiaire dès l'instant où ils rentrent dans les locaux de la N'ASA. (Il va de soi qu'il ne sorte pas leurs armes. Les amplis, utilisés comme trousse de soin sont tolérés.) Cela a pour conséquences:
La N'ASA peut héberger des chercheurs ou des victimes d'expérimentations obligés de fuir.
Toutes les décisions au sein de la N'ASA sont consensuelles, même les modes de choix exceptionnellement mis en place le sont par consensus. En cas d'urgence et en l'absence de consensus, on peut recourir au hasard.
Tronc et branches de la N'ASA
Le tronc comprend le président, son alter ego et d'autres homins (au moins trois) afin de représenter les quatre nations, les factions et les neutres.
Elles permettent :
Elles ne sont pas obligatoires, car il est connu que de nombreux chercheurs et aventuriers fuient les réunionites. Les rapports de recherche peuvent être communiqués par Izam. Ces rapports permettent entre autres de demander de l'aide (diplomatie, garde rapprochée, évènements divers...)
Les réunions se font en période non multiple de 7 jours (30 actuellement) pour permettre à tous les chercheurs d'être présents (certains d'entre eux ont des contraintes récurrentes). L'horaire devrait aussi pouvoir s’accommoder pour les Atysiens vivant très très loin (comme le Cas-Nada, l'Âme-Érik, Lorient, etc.). Donc il faut utiliser de préférence l'heure GMT( Green Mount Time, c'est-à-dire l'heure moyenne au niveau de l'observatoire royal des Sommets Verdoyants)
Le président de réunion gère l’enchaînement des points de l'ordre du jour. Dans ce but il attribue le temps de parole aux différents orateurs.
Chaque orateur est libre et responsable de son temps de parole, c'est à dire que c'est lui qui gère les questions-réponses. À la fin de son temps de parole, il remet explicitement la parole à celui qui le demande sinon au président qui enchaînera sur la suite du programme. Ce dernier n'intervient que s'il y a conflit (pour calmer et non pour choisir) ou pour limiter, voire interrompre, un thème en cours d'exposition/débat qui semblerait trop long ou stagnant. Dans tout les cas, cette interruption doit être consensuelle. Pour éviter le brouhaha, il est recommandé de lever la main, même pour le président.