La-Win-Cho : Différence entre versions

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Version du 6 février 2006 à 12:27

Bonjour a vous. Je me nomme La-Win-Cho. Je suis Zorai, pretre kamiste et raporteur des Cercles Zorais. Aprochez, et ecoutez mon histoire....


Souvenirs oubliés...

Je me reveilla en sursaut... Ce reve, il est trop réel, ce n'est pas possible. Je....C'est.... Ma vie.... je dois l'ecrire afin de m'en souvenir.

  • La-Win prend une plume*

"Je me nomme La-Win-Cho. J'ai été élevé dans la jungle sauvage par le clan famillial. Apres le Grand Essaim, mon clan s'est refugié dans une regions qui leurs etait inconnu. Il a survecu, malgres les restes de patrouille kitin, les carnivores, la faim mais surtout l'absence d'autres homins. Nous pensions etres les seuls survivants, jusqu'au jour ou nous avons trouvé un convois, devasté, lacéré. Nous connaissiont les coupable, c'etait Eux.

Nous explorames les decombres, encore fumantes du pollens des kipesta. Des cadavres, des dizaines de cadavres. Mais pas un seul grignoté, mangé ou meme digéré. On le savait, Ils ne tuaient que par haine Ce fut le premier contact avec nos semblable depuis des dizaines cycle. Les chariot utilisé ne venaient pas de la regions, le bois etait traité, comme avant Leurs arrivé. Soudain un cri. Ma soeur revenait vers nous en criant. Un mort avait bougé, nous dit elle. Je courus avec mon pere vers le soi disant mort. Celui ci etait comme nous zorais, l'acide lui avait rongé tout le coté droit jusqu'a l'os. Mais le reste etait intacte. Ma mere, guerrisseuse, arriva aussi. Apres plusieurs soins et minutes, le blessé rebougea, puis murmura. Personne ne le comprenit. Nous decidames de l'emener avec nous, afin de continuer les soins, et de connaitre la raison de leur presence. Enfin, nous savions que nous etions plus seul.

Dans la nuit, l'homin se reveilla. Il nous parla du peuple zorai, qui avait été sauvé et receuille dans des sanctuaire, aidé par disait il ... la karavan. Personne ne le crut, pourquoi nous aideraientt t'ils? Ma mere nous dit alors que les plantes qu'elle lui avait fais ingerer avaient souvent des effets de délire. Il continua, nous parla de la reconstruction de notre capitale, toujours dans la jungle. Mon pere pensait que c'etait encore un delire, les Murs etaient tombés, devant ses yeux de jeune soldat. Il vit les griffes massacré tout le monde, pourfendre les batiment. Non c'etait impossible, le peuple etait mort, impossible, il l'avait vu, un kamis la sauvé en le teleportant avec nous dans cette regions. Les autres, il etait certains qu'ils avaient péris. Le delirant nous dit meme le lieu de cette reconstrution. Tres loins, au nord. Ils venait de la bas, avant de se faire attaqué. Mon pere ricana. Au Nord, il y avait la goo. L'autre lui repondit, qu'ils avaient reussi a faire reculer la goo. C'en etait trop pour mon pere, qui refusa de l'ecouter et retourna se coucher. Moi, j'etait ebahis. Il me dit qu'ils revivaient dans des maisons. La peur de dormire n'existait plus. Plus de crainte de se faire attaquer en pleine nuit. Ils mangeait bien, souvent. Je m'endormis dans des visions de villes, que je n'avais jamais vu, des maisons. Je voyais sa comme un tronc immence avec un trou dedans.

Je fus reveillé par un cri. Pas celui de ma soeur cette fois malheuresement. Ce cris, c'etait celui d'un varinx. Une attaque nocturne est le pire qu'y puisse arriver. Plongé dans le noir, nous ne pouvons rien faire, seulement attendre qu'il eut choisis sa victime. Nous etions tous serré les uns contre les autres, tremblant d'efrois a chaque respiration du felin, a chaque pas velouté, a chaque frolement. La peur... de perdre la vie, de perdre un parent. Le varinx faisait son choix, nous ne bougions pas, paralisé. Soudains, j'entendu mon pere se lever et brandire ses 2 lames. Puis, un autre bruit, mate, un bruit d'os rompu. Les varinx tuent leur victimes en leur rompant la nuque...Et la, deux emotions enormes, d'abord le soulagement d'avoir été epargné, qui fut vite remplacé par la comprehension des evenements. C'etait mon pere qui etait mort. Tristesse. Mais le destin n'avait pas fini, le varinx relacha le corps, qui tomba dans un fracas et s'enfuis a toute jambe. Un cliquetit arrivait... de plus en plus fort. Par les kamis, je me jurai de ne plus jamais vivre dans cette peur. Le bruit s'amplifia. La seule solution qui me sembla a l'esprit etait les maisons. Le bruit fut accopagné de Leurs cris habituel. Or ces maisons je le savais, il fallait que je les trouve la-bas, dans le pays-a-goo.

Cette fois c'etait sur, Ils etaient la. Toujours dans le noir, toujours dans la peur, je couru. J'entendais mon clan essayé de courir ici. Mais c'etait en vain. Ma soeur etait sur mes epaule, elle etait trop petite pour courire. Je courus, a en perdre haleine. je cru meme m'envoler. Oui, mes pied quittaientt le sol! je leva les yeux, et vit un kipesta qui tirait entre ses mandibule la tete de ma soeur. Sa seve me coula sur le visage. Je compris que c'etait deja trop tard pour elle, pourtant, je frappa le kipesta, avec la dague de mon pere que ma soeur tenait encore dans ses bras. Je le frappais, encore, meme lorsqu'il etait a terre, je continua... je pleurais, de haine, de peur, de tristesse, de stress. Ma poitrine etait en feu, peut etre le polen du kipesta, peut etre par le manque de souffle. Je m'affala sur le sol, tout etait encore noir. Je me reveillai, et me disait, ouf ce n'etait qu'un reve, le jour etait levé. Mais le corps du kitin etait encore sous moi. Retour a la realité, ce n'etait pas un reve. Je retrouvis le corps de ma soeurs quelque pas plus loin, la tete a demis arraché, la seve sortait encore de son coup desarsenner.

Je courus au campement. Vision horrifiantes. Le clan, tout le clan gisait, les corps etait tout pourfendu, brulé. j'entendi une respiration hatelante. C'etait ma mere. Je m'agenouilla vers elle. Elle ouvrit les yeux et murmura " le fou est ta chance, mon enfant, ecoute le...". je decouvris alors l'entendu de ses blessure. Son thorax etait meurtris de plusieur entailles. Elle avait du rester debout pour essayé de soigner les autres... Ses yeux se refermerent. Son souffle disparut. La lumiere filait sur le camps, m'exposant le spetacle macabre. Tant de souffrance pendant la nuit, tant de mort, tant de perte.

La pluie vint alors laver la scene. je voyais la seve se mélanger a l'eau, ruisseler sur mon corps, puis couler sur les feuilles, rejoingnant les autres ruisseaux melant eau et seve de tout mon clan. je resta la des heures, en essayant de comprendre, pourquoi moi j'avais été epargné. Je tenait la dague de mon pere dans la main. Je pris ensuite son épée, sur le seul corps epargné par les kitins. je vis quand meme la marque des crocs dans sa nuque. Je pris aussi les gants de ma mere, meme si je n'avais pas encore appris l'art des kamis... Je pris donc la direction que le fou avait indiquer dans ces delires. Le pays-a-goo m'attendais. Je laissais derrierement moi mon clan, ainsi que les seuls homins que je connaissait. Mon coeur se serra comme jamais, des larmes coulèrent pendant des jours de marche.

Le voyage fut long. Je survis comme je l'avait toujours fait, mais seul. La chasse était plus dure, je n'etrapait que des yubos, que j'avais peine a tuer. Un matin, apres une longue nuit de peur et d'angoisse, je vis une chose etrange. Une boule de poil fouillait mon sac! je sauta sur lui avec ma dague. Je la projeta vers le voleur de toute mes forces, mais elle ne transperca que l'air! la chose avait disparu au moment de l'attaque. Je regarda autour de moi, et la revis pendu a un arbre, la tete en bas. C'etait la premiere fois que je voyais cet animal. A part les poil aussi noirs que la nuit, je ne discernais de lui que deux eux blancs, et parfois deux petite mains. Je m'aprochais, resolu a le punir."Bonjour" je me retourna j'avais entendu une voix. Puis un rire."C'est moi.". La boule de poil reaparu juste devant mon masque. je cria aux alentour " qui etes vous?". Toujours un petit rire, et toujours la boule de poil qui me lachait pas. "Montrez vous!". Le rire redoubla. " Je suis devant toi". je ne voyais que la boule de poil... je compris. Mes parents m'en avait parler. C'etait un kamis, qui d'apres ce que j'avais compris, etaient un represantant de notre dieu Ma-Duk. Je rangea ma dague. je savais qu'il ne me voulais pas de mal. " Que vous voulez vous?" lui dis-je. " Faim" j'entendis dans ma tete. Il tendis sa main. je fouilla dans mon sac, ne trouvant qu'une patte de yubo avarié et lui offris. "merci" et il disparut.

Les jours d'apres, les yubo etait tous plus gras, plus gros, plus facile a attrapé. je commencai a retrouvé des forces. Mon chemin me semblait de plus en plus tracé. Les arbre formaient peu a peu une allée. La nuit, les buissons devenait fouillu, afin d'epaissir mon matelas. je compris bien plus tard que c'etait ma recompense pour un avoir aidé le kami. je ne sais combien de temps j'ai voyagé. Mais je suis arrivé finalement, a un petit vilage. Je vis un grand cercle, avec des porte, et un rocher qui volait auddessus. Je vis pour la premiere fois l'architecture zorais.