La première guilde, les Rangers d'Atys occupait le terrain dans les Bois d’Almati. Peu à peu, des réfugiés ont adhéré à leur modèle. La première guilde fut donc créée sur Silan pour accueillir et aider les réfugiés.
Sur le continent, las des guerres qui déciment inutilement les populations, de nombreuses guildes neutres naissent. Beaucoup s’inspirent alors de l’esprit Ranger animé par un idéal de fraternité. Ces derniers pensent que les homins devraient vivre en paix sans division, estimant que les divisions entre eux ont été l’une des causes de la catastrophe du Grand Essaim, chaque peuple ayant lutté seul.
Dans les années Jena 2562, certaines de ces guildes se revendiquent ouvertement comme Ranger. De longues discussions s’entament alors sur une charte des Rangers qui uniraient toutes ces guildes.
À cette époque, les contacts se renouent entre les pacifistes, guildes ou homins indépendants, notamment lors de la recherche de Daeronn, l’entomologiste perdu. Au cours de la recherche, les explorateurs se voyaient attribuer un étrange artefact ranger qui permet de passer plus où moins inaperçu dans les kitinières. C’était la première fois que les Rangers offraient un peu de leur savoir aux aspirants rangers.
Ce même Daeronn découvrit un termite particulier : comme tous les termites, il mangeait du bois mort, et appréciait particulièrement l’aggloméré fabriqué par les kitins pour étayer leurs galeries comme celles utilisées pour propager le second essaim à travers les différentes nations. Mais la particularité de ce termite était sa grande fragilité. On se demande même comment il pouvait survivre. Cette fragilité fut exploitée par les potions concoctées par le fyros et son collègue Ardan Keale. Cette technique fut à l’origine de certains conflits diplomatiques avec les Matis et les Zoraïs qui voyaient là de dangereuses expériences d’apprentis magiciens.
Une fois, toutes traces de l’invasion kitine effacées, peu à peu, les civilisations des homins reprenaient leur cours interrompu par le deuxième grand essaim et le besoin de survie laissant place à plus de réflexion, les homins découvrent de nombreuses anomalies dans l’histoire de leur vécu surtout avec l’apparition inexpliquée d’autres dialectes. Au bout de vingt et quelques années de reconstruction, la neutralité des rangers fut sollicitée pour offrir un terrain de réunion dans leur camp du Bois Bois d’Almati, le Holeth, Winderly 12, 2e CA 2581, ouvert à tous les Homins d’Atys afin d’élucider le mystère que la Karavan prétendait avoir compris.
Peut-on considérer cette date comme un nouveau départ pour l’hominité, et en particulier les Rangers ?
Resumé | |
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Continent Chef Allégeance Relations Matis - Amicales |
À approuver et terminer
Elles sont au nombre de six pour rappeler les quatre nations et les deux puissances:
À approuver et terminer
Les Rangers, issus de toutes les origines homines, ont une vision assez ouverte quant aux diverses croyances, légendes issues du mélange de cultures.
Les puissances sont vues tantôt comme un mal nécessaire tantôt comme une vérité incomplète pour donner un sens à leur existence. Par expérience, ils savent que ces puissances ont participé deux fois à sauver l’hominité sans distinction entre leurs fidèles ou non. Il se doute que leur pouvoir peut servir à les aider... comme à les anéantir, aussi ils se montrent accueillants à leurs membres sans pour autant leur prêter allégeance. Ils n’ont pas d’idées préconçues sur Jena.
Les nations sont pour les Rangers une richesse quand elles additionnent leurs compétences, un drame quand elles s’entredéchirent. C’est pourquoi certains Rangers offrent leur service de médiateurs.
Les apatrides sont parfois considérés comme des cousins tant qu’ils n’agressent pas d’autres homins à cause de leur nationalité ou de leurs convictions.
Les Rangers s’interdisent de porter les armes contre tout autre homin, quelle que soit leur nation et croyance sauf en cas de légitime défense. Il en est de même avec les apatrides, maraudeurs ou trytonistes. Les seules rares fois où cela est autorisé, c’est dans les joutes amicales. Et encore, il se doit de soigner ou faire soigner le concurrent après le combat.