par Lou Tei-Sang
Le Mill Perle
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Le Mill Perle (test préparation pour fiche à traduire et externaliser !)
Description
Le Mill Perle est une plante vivace, à tige ascendante, très peu ramifiée (une ramification tout au plus) pouvant dépasser la taille d’un homin. Les feuilles sont alternes, courtes et pointues, parallèles à la tige. A la fin de l’automne, la tige - autrement peu ligneuse - a la particularité de s’envelopper d’une écorce qui va la protéger de la voracité des herbivores durant l’hiver. De cette écorce d’un brun vert très sombre, qui au printemps se fissure sur toute la hauteur, va s’extraire une jeune pousse vert tendre, très souple et élastique qui ondule comme un ressort au grès du vent. Au sommet des tiges, jaillissent de petites inflorescences blanc-jaune, légères et duveteuses, reliées entre elles par une sorte de soie fine et très résistante. Une partie des flocons soyeux se détachera progressivement jusqu'à l’été, et à l’automne il ne restera plus qu’une guirlande de graines (7 à 9 en moyenne), qui peuvent être récoltées pour confectionner des pains et des gâteaux.
Usages
Utilisées en baumes les graines sont un puissant decontractant. Fine, résistante et à combustion très lente, l’écorce qui s’en détache est parfois utilisée en calligraphie, elle peut servir de mêche ou être remplie d’huiles et de résines odorantes pour être consumée lors de rites religieux (Zorai)
Notes
Le mill perle pousse naturellement dans les forêts temperées et humides, où il est très répandu, jusque dans les villes. Il porte de nombreux noms vernaculaires, on le retrouve sous l’appelation de Millet Perlé, Pailles perlières ou Paya Perl, Pailles de Plénitude, Ondulante ou Bondissante de Printemps, ou encore Volubile de Folially
La Rosae Matia
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La Rosae Matia (test préparation pour fiche à traduire et externaliser !)
Description
La Rosae Matia est un arbrisseau à port dressé, plutôt bas, généralement 40 à 120 cm, à demi herbacé, qui tend à s’étaler par drageonnement (rejet naissant sur la racine) très répandue sur les Terres Matis et Zoraï.
Les feuilles sont luisantes, entières à bordure lisse, et cordiformes: la pointe est aiguë et la base est en forme de coeur. Elles sont très peu nervurées à l’exception de la nervure médiane, le long de laquelle elles semblent presque pliées en deux. Les feuilles inférieures sont opposées alors que les supérieurs sont disposées alternativement de part et d’autre et à des niveaux différents de la tige, à laquelle les relient un court pétiole.
Les fleurs étoilées, à 6 pétales arrondis, sont très parfumées, fragiles et sessiles: fixées directement sur la tige, sans pédoncule. Chaque rameau porte 3 à 6 fleurs axillaires disposées en épis, isolées, de 2 à 4cm de diamètre et de couleur blanc-crème ou rosé, parfois, quoique rarement, bleu pâle. Le feuillage vert tendre devient jaune-orangé à l’automne.
Usages
La Rosae, aisée à cultiver sur sol drainé et ensoleillé, est appréciée pour ses qualités ornementales et la production de parfums ou de confiseries.
La fleur fécondée se transforme en une fausse-baie ovoïde, rose-orangée, de quelques millimètres, contenant des poils très irritants pour la peau.
Lorsqu’il est mûr le fruit devient comestible.
Notes
Nombre d’amateurs et d’érudits - car elle fait partie intégrante de la formation des botanistes - s’adonnent à son hybridation. La Rosae Matia est la rosae la plus anciennement connue, la plupart des variétés actuelles lui sont affiliées. Le nombre de variétés issues de mutations ou de croisements ayant existé est estimé à plusieurs centaines, mais à peine une dizaine sont conservées à ce jour.
Selon la coutume, les hybrides sont baptisées de noms de lieux ou de personnages illustres, tels les membres de familles royales, citons la légendaire Rosae Yrkanis, qui, seule après la Rosae Matia a su s’acclimater et pousser spontanément.
Les fleurs sont simples, mais sont plus couramment doubles voir triples dans les variétés cultivées et créées par nos brillants botanistes, de même elle peuvent présenter diverses teintes et de savants et délicats motifs.
La Fléole de la Goo
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TODO :
- Ajouter la desc. de l'Inflorescence directement sur la feuille
- Ajouter une feuille ou une note textuelle ?? sur la Goo
Brouillon
Son rôle vis-à-vis de la Goo est mal connu (cf. interdiction de deplacer ou d'introduire des sols contaminé dans d'autre région + quasi impossible de la maintenir sur un sol sain + étude non-rendues publiques du fait de la sensibilité du sujet car la fléole est soit immunisée soit "boostée" par la Goo !!) mais laisse à penser selon les observations ici faites (assechement + racine + barrière de protection) qu’elle participe si ce n’est à l’assainissement, du moins à la prévention de l’élargissement des zones rongées par la Goo.
Toute étude de la Fléole de la Goo est normalement à signaler et à placer sous la Contrôle de la Théocratie ? Son arrachage massif est interdit ?
La plante ne semble pas “affectée” par la Goo dans la mesure où elle ne présente aucune forme de dégénérescence ou de pourrissement. Les tentatives de la faire pousser sur un sol non-infecté par la Goo sont généralement un échec et systématiquement infructueuses, car la Fléole - autrement capable de se reproduire seule et pouvant se régénérer à partir de morceaux de racines, même coupée à plus de 40cm sous la surface du sol - est systématiquement stérile sur un sol sain. Pour simplement parvenir à la maintenir dans cet état végétatif bien que non-reproducteur, elle requiert un sol pionnier, tassé, enrichi en sève et à humidité stagnante très élevée, où la compétition des autres plantes est éliminée. Une seule fléole peut éliminer jusqu'à 180 litres d'eau du sol par cycle atysien !