L'herbier de Lou Tei-Sang : Différence entre versions

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Version du 21 mai 2018 à 19:49


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Herbier de la Toute Petite Flore des Forêts Tempérées et Humides


 
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Mill Perle

Lou Herbier 01 MillPerle A.png Lou Herbier 01 MillPerle B.png

Ambre taxonomique
Mill Perle
Lou Herbier 01 MillPerle A.png
Règne Végétal
Catégorie Herbe
Écosystème Forêt
Type de riposte Sans défense

Le mill perle (ou pocea) est une plante vivace, à tige ascendante, très peu ramifiée (une ramification tout au plus) pouvant dépasser la taille d’un homin. Les feuilles sont alternes, courtes et pointues, parallèles à la tige. À la fin de l’automne, la tige – autrement peu ligneuse – a la particularité de s’envelopper d’une écorce qui va la protéger de la voracité des herbivores durant l’hiver. De cette écorce d’un brun vert très sombre, qui au printemps se fissure sur toute sa hauteur, va s’extraire une jeune pousse vert tendre, très souple et élastique qui ondule comme un ressort au gré du vent. Au sommet des tiges, jaillissent de petites inflorescences blanc-jaune, légères et duveteuses, reliées entre elles par une sorte de soie fine et très résistante. Une partie des flocons soyeux se détachera progressivement jusqu'à l’été, et il ne restera plus à l’automne qu’une guirlande de graines (sept à neuf en moyenne), qui peuvent être récoltées pour confectionner du pain et des gâteaux.

Usages

Utilisées en baumes les graines sont un puissant décontractant. Fine, résistante et à combustion très lente, l’écorce qui s’en détache est parfois utilisée en calligraphie et elle peut servir de mèche ou être remplie d’huiles et de résines odorantes pour être consumée lors de rites religieux zoraïs.

Notes

Le mill perle pousse naturellement dans les forêts tempérées et humides, où il est très répandu, jusque dans les villes. Il porte de nombreux noms vernaculaires, on le retrouve sous l’appellation de millet perlé, pailles perlières (ou paya perl), pailles de plénitude, ondulante (ou bondissante) de printemps, ou encore volubile de folially.


Dernière version 2020-01-09•


 
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Rosae Matia

Lou Herbier 03 RosaeMatia A.png Lou Herbier 03 RosaeMatia B.png

Ambre taxonomique
Rosae Matia
Lou Herbier 03 RosaeMatia A.png
Règne Végétal
Catégorie Herbe
Écosystème Forêt & Jungle
Type de riposte Sans défense

La rosae Matia (ou fragaria) est un arbrisseau à port dressé, plutôt bas, généralement 40 à 120 cm, à demi herbacé, qui tend à s’étaler par drageonnement (rejet naissant sur la racine) très répandu sur les Terres Matis et Zoraï.

Les feuilles sont luisantes, entières à bordure lisse, et cordiformes : la pointe est aiguë et la base est en forme de cœur. Elles sont très peu nervurées à l’exception de la nervure médiane, le long de laquelle elles semblent presque pliées en deux. Les feuilles inférieures sont opposées alors que les supérieures sont disposées alternativement de part et d’autre et à des niveaux différents de la tige, à laquelle les relie un court pétiole. Les fleurs étoilées, à 6 pétales arrondis, sont très parfumées, fragiles et sessiles : fixées directement sur la tige, sans pédoncule. Chaque rameau porte 3 à 6 fleurs axillaires disposées en épis, isolées, de 2 à 4 cm de diamètre et de couleur blanc-crème ou rosé ou, plus rarement, bleu pâle. Le feuillage vert tendre devient jaune-orangé à l’automne.

Usages

La Rosae, aisée à cultiver sur sol drainé et ensoleillé, est appréciée pour ses qualités ornementales et la production de parfums ou de confiseries. La fleur fécondée se transforme en une fausse-baie ovoïde, rose-orangé, de quelques millimètres, contenant des poils très irritants pour la peau. Lorsqu’il est mûr le fruit devient comestible.

Notes

Nombre d’amateurs et d’érudits – car elle fait partie intégrante de la formation des botanistes – s’adonnent à son hybridation. La rosae Matia est la rosae la plus anciennement connue et la plupart des variétés actuelles lui sont affiliées. Le nombre de variétés issues de mutations ou de croisements ayant existé est estimé à plusieurs centaines, mais à peine une dizaine sont conservées à ce jour.

Selon la coutume, les hybrides sont baptisées de noms de lieux ou de personnages illustres, tels les membres de familles royales, citons la légendaire rosae Yrkanis, qui, seule après la rosae Matia a su s’acclimater et pousser spontanément.

Les fleurs sont simples, mais sont plus couramment doubles voir triples dans les variétés cultivées et créées par nos brillants botanistes, de même elle peuvent présenter diverses teintes et de savants et délicats motifs.


Dernière version 2020-01-09•


 
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Fléole de la Goo

Lou Herbier 02 FleoleGoo A.png Lou Herbier 02 FleoleGoo B.png

 
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TODO :

- Ajouter la desc. de l'Inflorescence directement sur la feuille

- Ajouter une feuille ou une note textuelle ?? sur la Goo

Brouillon

Son rôle vis-à-vis de la Goo est mal connu (cf. interdiction de deplacer ou d'introduire des sols contaminé dans d'autre région + quasi impossible de la maintenir sur un sol sain + étude non-rendues publiques du fait de la sensibilité du sujet car la fléole est soit immunisée soit "boostée" par la Goo !!) mais laisse à penser selon les observations ici faites (assechement + racine + barrière de protection) qu’elle participe si ce n’est à l’assainissement, du moins à la prévention de l’élargissement des zones rongées par la Goo.

Toute étude de la Fléole de la Goo est normalement à signaler et à placer sous la Contrôle de la Théocratie ? Son arrachage massif est interdit ?

La plante ne semble pas “affectée” par la Goo dans la mesure où elle ne présente aucune forme de dégénérescence ou de pourrissement. Les tentatives de la faire pousser sur un sol non-infecté par la Goo sont généralement un échec et systématiquement infructueuses, car la Fléole - autrement capable de se reproduire seule et pouvant se régénérer à partir de morceaux de racines, même coupée à plus de 40cm sous la surface du sol - est systématiquement stérile sur un sol sain. Pour simplement parvenir à la maintenir dans cet état végétatif bien que non-reproducteur, elle requiert un sol pionnier, tassé, enrichi en sève et à humidité stagnante très élevée, où la compétition des autres plantes est éliminée. Une seule fléole peut éliminer jusqu'à 180 litres d'eau du sol par cycle atysien !