bavèchak dekior crie : Les histoires finissent parfois bien, parfois mal... Parfois, on ne sait pas. Mais Anlor Winn les veut, tant qu'elles sont effrayantes !
Learrell dit : j'ai une histoire effrayante à raconter !
bavèchak dekior crie : Oh, mais alors j'espère que tout le monde frissonnera. Viens la raconter.
Anlor Winn viens siffler un peu.


Learrell dit : Aeddie, une jeune Trykette fuyant sa terre natale envahie par les kitins, avait trouvé refuge dans une vieille maison perdue au cœur d'une forêt séculaire, là où les branches tordues semblaient murmurer au gré du vent.
Learrell dit : Les habitants du village voisin, des gens aux regards fuyants, lui avaient jeté des avertissements qui en auraient fait fuir plus d'un.
Learrell dit : On parlait de la "Présence sans nom" qui hantait ces lieux depuis des générations, mais Aeddie, rationnelle et peu encline aux superstitions, n’y prêta pas attention.
Learrell dit : La première nuit, l’atmosphère se révéla oppressante. Une lourdeur indescriptible imprégnait l'air, comme si des yeux invisibles scrutaient chaque mouvement.
Learrell dit : Elle se réveilla brusquement, le cœur battant à un rythme incertain, et une étrange brume flottait dans la pièce.
Learrell dit : Les ombres dansaient de façon discordante, obéissant à une logique qui lui échappait.
Learrell dit : Un murmure, presque imperceptible, traversa la pièce, semblable à des voix lointaines. Les mots n’étaient pas compréhensibles, mais portaient en eux une terreur ancestrale.
Learrell dit : La pièce semblait se refermer sur elle, les murs respirant et se contractant, comme un bodoc à l'agonie.
Learrell dit : Elle crut percevoir, à travers le miroir ancien accroché au mur, une silhouette indistincte, faite de ténèbres mouvantes, pareille à une ombre qui aurait pris conscience de sa propre existence.
Learrell dit : L’air se chargea d’une odeur de terre humide et de choses oubliées depuis longtemps, remontant des profondeurs inconnues.
Learrell dit : Aeddie cligna des yeux, mais la vision persistait. Un visage aux contours indéfinis, comme érodé par le temps et l’abîme, semblait l’observer depuis un lieu hors de la réalité.
Learrell dit : Une main diaphane tendit ses doigts, et le murmure devint un cri étouffé, empli d’une infinie détresse.
Learrell dit : Lorsque la première lueur de l'aube pénétra la pièce, la vision se dissipa, mais une marque indélébile subsistait en elle, un savoir interdit dont elle n'osait deviner l’ampleur.
Learrell dit : Et, dans le lointain, un dernier écho résonna, à peine audible : « Les portes sont ouvertes. »
Learrell dit : merci de votre attention :)
Lorelai encourage Learrell. Fonce Learrell !
Kyriann dit : Bravo !!
Kyriann applaudit Learrell à tout rompre. Kyriann applaudit Learrell à tout rompre.
bavèchak dekior ricane en applaudissant : Merci ! Oui, les portes sont ouvertes.
Tenaka applaudit
Learrell s'incline devant bavèchak dekior.
Elke applaudit. Nisroch applaudit Learell Krill encourage Learrell. Fonce Learrell !
Aistar dit : une belle histoire. Bravo :)
bavèchak dekior sourit : Tu présentes la porte. J'aime quand des homins la traversent.
Lunamoon encourage Learrell. Fonce Learrell !
bavèchak dekior crie : ... Dans les deux sens. *rit fort*
bavèchak dekior crie : Voilà ton cadeau, pour avoir encouragé les autres à passer de l'autre côté.
Hayt encourage Learrell. Fonce Learrell ! Nehesineri est reconnaissante envers Learrell.
Tenaka dit : (je vous souhaite à tous une bonne soirée et merci pour les histoires ;) )
Kyriann dit : ((Ciao Tenaka))
Chenli dit : (bye Tenaka)