De EncyclopAtys
m |
|||
(10 révisions intermédiaires par 5 utilisateurs non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
+ | {{Trad | ||
+ | |DE= | ||
+ | |EN= | ||
+ | |ES=Relaciones Matis | ||
+ | |FR=Relations Matis | ||
+ | |RU= | ||
+ | |palette=matis | ||
+ | }} | ||
== Comment ils perçoivent la Karavan == | == Comment ils perçoivent la Karavan == | ||
Ligne 19 : | Ligne 27 : | ||
== Comment ils perçoivent Elias Tryton == | == Comment ils perçoivent Elias Tryton == | ||
− | Certains furent témoins de « l'apparition » d'Elias qui descendit de la canopée dans un rayon de lumière au cours du Grand Essaim. Les anciens affirment qu'il est en réalité un messager miséricordieux envoyé par Jena pour leur permettre de prendre refuge dans les [[Primes | + | Certains furent témoins de « l'apparition » d'Elias qui descendit de la canopée dans un rayon de lumière au cours du Grand Essaim. Les anciens affirment qu'il est en réalité un messager miséricordieux envoyé par Jena pour leur permettre de prendre refuge dans les [[Primes Racines]] et de se protéger des attaques kitins du Grand Essaim. Il se dit que d'autres messagers viendront élever les esprits des Matis. Certaines rumeurs annonçaient l'arrivée d'une grande force avant le Grand Essaim mais les textes sacrés ont été perdus. |
Durant les années qui suivirent, certains sages matis fondèrent la [[Guild of Elias]] avec d'autres races homins pour perpétuer sa mémoire. Cette guilde fut dépeinte par la Karavan comme une secte opposée à l'église de Jena et par conséquent interdite. En [[2505]], durant le règne de Jinovitch, nombre des membres de la guilde furent condamnés pour hérésie contre Jena et brûlés vifs. Depuis cette époque, la guilde agit dans le secret. | Durant les années qui suivirent, certains sages matis fondèrent la [[Guild of Elias]] avec d'autres races homins pour perpétuer sa mémoire. Cette guilde fut dépeinte par la Karavan comme une secte opposée à l'église de Jena et par conséquent interdite. En [[2505]], durant le règne de Jinovitch, nombre des membres de la guilde furent condamnés pour hérésie contre Jena et brûlés vifs. Depuis cette époque, la guilde agit dans le secret. | ||
Ligne 47 : | Ligne 55 : | ||
* [[Historique_Matis|Historique]] | * [[Historique_Matis|Historique]] | ||
* [[Apercu_Histoire_Matis|Un Aperçu de l'Histoire Matis]] | * [[Apercu_Histoire_Matis|Un Aperçu de l'Histoire Matis]] | ||
− | + | {{clear}} | |
− | [[Catégorie: | + | <noinclude>{{Portail|matis}} |
+ | [[Catégorie:Matis]] [[Category:Politique]] {{last version link|Relations Matis}}</noinclude> |
Version actuelle datée du 5 mai 2022 à 08:55
Sommaire
Comment ils perçoivent la Karavan
Les Matis voient volontiers les membres de la Karavan comme les fidèles serviteurs de Jena qui accumulent des ressources destinées aux offrandes à la déesse afin de préparer leur avenir sur une planète de forêts vierges et de paysages inexplorés. Ils les considèrent principalement comme des alliés utiles et aimeraient surtout bien apprendre à manier leurs armes de puissance. Le temps passant, leur inclination naturelle pour la puissance et la souveraineté poussa les Matis à bâtir des relations solides avec la Karavan. Par la suite, ils s'engagèrent dans une lutte sans merci contre les Kamis. Cependant, suite au Grand essaim et malgré le renouvellement du serment d'allégeance du Roi Yasson envers la Karavan, des dissidents matis commencèrent à semer le doute parmi la population en remettant en question l'invincibilité de la Karavan et leur véritable rôle dans le dessein de Jena ce qui, par la même occasion, défiait l'autorité suprême du Roi ! En 2504, le plus gros de l'opposition fut réprimé par Jinovitch, un roi despotique à l'origine de la persécution des sceptiques pour hérésie.
Aujourd'hui, les Matis se considèrent avec morgue comme les égaux de la Karavan. Ils cherchent sans cesse à obtenir les faveurs de la Karavan car elle représente une force d'opposition aux Kamis qui entravent les manipulations matis sur la flore.
Comment ils perçoivent les Kamis
Les Matis sont méfiants et craignent d'être possédés par les étranges créatures qui s'opposent aux Gardiens de la Karavan. Qui plus est, les Kamis condamnent les manipulations génétiques des Matis sur la flore. Les Matis furent donc ravis quand la Karavan caractérisa les Kamis de créatures maléfiques et punit ceux qui communiquaient avec eux. En outre, le monarque matis fit voter une loi interdisant à ses sujets de pratiquer des « actes maléfiques » avec les Kamis. Les contacts avec ces derniers devaient alors se limiter à leur capture pour les remettre à la Karavan.
En 2508, sous le règne de Jinovitch, les Kamis furent ouvertement persécutés sur les terres Matis. Cependant, depuis l'accession au trône du roi plus libéral, Yrkanis, les Kamis sont désormais tolérés.
Comment ils perçoivent Jena
Les Matis vouent un culte à Jena et lui font des offrandes par le biais de ses disciples sur Atys, la Karavan. Outre la légitimation de leur monarchie, la plupart des coutumes matis s'articulent autour d'un culte à Jena qui constitue une vraie religion.
Après la déroute des civilisations durant le Grand essaim de 2481, nombre de Matis furent en colère contre la déesse qui n'avait pas envoyé la force de la Karavan pour sauver des centaines de milliers d'homins. Mais la Karavan omniprésente remit les Matis sur la bonne voie et aujourd'hui la plupart d'entre eux pensent que l'essaim fut peut-être l'oeuvre de Jena affichant sa colère envers les homins qui transgressèrent les Lois divines, à savoir les excavations homins des Primes Racines et la tentation de certains homins comme les Zoraïs à adorer les Kamis.
Comment ils perçoivent Elias Tryton
Certains furent témoins de « l'apparition » d'Elias qui descendit de la canopée dans un rayon de lumière au cours du Grand Essaim. Les anciens affirment qu'il est en réalité un messager miséricordieux envoyé par Jena pour leur permettre de prendre refuge dans les Primes Racines et de se protéger des attaques kitins du Grand Essaim. Il se dit que d'autres messagers viendront élever les esprits des Matis. Certaines rumeurs annonçaient l'arrivée d'une grande force avant le Grand Essaim mais les textes sacrés ont été perdus.
Durant les années qui suivirent, certains sages matis fondèrent la Guild of Elias avec d'autres races homins pour perpétuer sa mémoire. Cette guilde fut dépeinte par la Karavan comme une secte opposée à l'église de Jena et par conséquent interdite. En 2505, durant le règne de Jinovitch, nombre des membres de la guilde furent condamnés pour hérésie contre Jena et brûlés vifs. Depuis cette époque, la guilde agit dans le secret.
Aujourd'hui la Guild of Elias vit toujours clandestinement sur le territoire matis mais parvient à répandre la parole de la venue d'Elias. Le gouvernement d'Yrkanis, respectant les Lois de la Karavan, a banni la guilde même si en réalité il a fermé les yeux afin de pouvoir glaner des informations pour garder sous contrôle le phénomène.
Comment ils perçoivent les Trykers
Auparavant, les Matis n'avaient que peu de considération pour les Trykers et menèrent même une campagne pour conquérir leurs territoires et réduire en esclavage la population. Ils n'avaient alors que du mépris pour l'indiscipline des Trykers mais ils sont depuis intéressés par leurs ruses de combats. Tous les efforts des Matis pour inculquer le sens de la discipline aux Trykers eurent de lourdes conséquences. En effet, afin d'échapper à la domination des Matis, les Trykers se rapprochèrent à nouveau des Fyros. Il faut savoir que l'alliance Fyro-Tryker fut à l'origine des hostilités entre les trois peuples et conduisit à la révocation de l'Edit des Quatre Peuples en 2498.
Les Matis, ayant compris que les Trykers ne peuvent pas être « apprivoisés », préfèrent désormais entretenir des relations amicales avec ces petits homins frivoles plutôt que de risquer de les voir se rapprocher à nouveau des Fyros. Après tout, les Trykers sont d'excellents explorateurs et également des alliés de la Karavan. Depuis le Traité de Paix de Fairhaven en 2515, les Matis ont décidé d'abandonner leur conquête des terres matis et leur foi commune en Jena a rapproché d'autant plus les deux peuples.
Comment ils perçoivent les Fyros
Les Fyros sont les ennemis jurés des Matis. Sur les terres d'antan, Dyros le Grand, l'empereur fyros, sécurisa un aqueduc depuis la région des lacs au désert et passant par le territoire matis. Cette « intrusion » sur le territoire matis déclencha la guerre des civilisations. Les affrontements durèrent pendant plus de deux cents ans pour culminer lors du Feu de Coriolis. Un traité de paix signé à Karavia ramena une paix toute relative pendant un certain temps malgré la discorde accusant les Fyros de placer les intérêts nationaux au-dessus des Lois de la Karavan.
Les escarmouches, qui étaient monnaie courante sous le règne de Jinovitch, laissèrent place à une paix relative grâce au Traité de Paix de Fairhaven signé en 2515 par l'actuel roi matis, Yrkanis. Néanmoins, le rapprochement des Fyros et des Kamis a suscité une grande agitation au sein de la cour matis qui, dans sa majorité, a demandé une position plus ferme contre Pyr et sa politique de prolifération des Kamis.
Comment ils perçoivent les Zoraïs
Pendant de nombreuses années, les Matis n'eurent que peu de rapport avec les Zoraïs qui avaient toujours gardé leur distance par rapport aux conflits des autres civilisations homins sur les terres d'antan. Cependant, une période de paix amena des voyageurs zoraïs au-delà des frontières vers Karavia où ils échangèrent leurs connaissances et leurs croyances. Les Matis purent alors mesurer l'étendue de la force des Kamis et prendre conscience de l'existence d'une autre « religion ».
Les Matis considèrent les Zoraïs comme des homins à l'âme noble mais dont la « religion païenne » doit être surveillée. Pourtant, ce fut bien un guerrier zoraï, le père de Mabreka, qui sauva la vie d'Yrkanis, l'actuel roi matis, en 2493. Qui plus est, Mabreka donna asile à Yrkanis dans la cité de Zora au cours du règne de Jinovitch et permit à Yrkanis de reprendre le trône, bannissant ainsi le monarque totalitaire. Nombreux sont les Matis qui s'opposent à cette « dette », estimant qu'elle ternit leur honneur et leur crédibilité aux yeux de la Karavan.
Voir aussi