Yento/Background : Différence entre versions

De EncyclopAtys

 
('''Background''')
Ligne 2 : Ligne 2 :
  
 
'''Liens'''
 
'''Liens'''
*Yento - [[Yento]]
+
*Yento - [[Yento|Sommaire]]
 
*Bacground de Yento - [[Yento/Background/2|La fin de Yento?]]
 
*Bacground de Yento - [[Yento/Background/2|La fin de Yento?]]
  

Version du 7 septembre 2005 à 12:25

Background

Liens

Mon Maître

Ce n'était pas un jour comme les autres. Trois couchers de soleil avant, mon maître me fit subir l'entraînement le plus dur qu'il m'ait jamais dispensé. Mais après m'avoir roué de coups et fait comprendre a quel point j'étais loin d'égaler son art du combat, il m'offrit le plus beau des cadeaux.

Mon visage en sang s'illumina de joie quand il sortit de son sac une magnifique armure , achetée dans les territoires lointains des déserts de sciure. Mon maître me savait prêt pour ma première grande chasse.

Nous étions en route vers les Plages Abondantes, lieu bien connu à Aeden pour ses tribus primitives entourées de prédateurs, et son accès aux Primes Racines. Armé de ma lance gagnée elle aussi de haute lutte il y a peu, on franchit le vortex. J'allais enfin pouvoir éventrer ces dangereuses créatures dont on m'avait tant parler. Nos premier trophées furent des Zerxs trouvés à notre arrivée : quel délice de les empaler aux cotés de mon maître !!

Les tribus croisées périrent encore plus facilement, à croire que les Trykers commencent à se réapproprier leurs terres. Mais faisant une pause sur des carcasses de gibbais, mon maître, le plus grand Tryker qu'il m'ait été donné de voir, se leva : en effet six Matis approchaient, s'arrêtant à dix mètres de nous. Il les salua courtoisement, tandis que je serrais ma lance : on m'en avait assez dit sur cette race pour au moins me sentir méfiant. Avec raison.

Leur réponse fut leurs cris quand ils se jetèrent sur nous. Toujours aussi vif, mon maître m'ordonna d'attaquer leurs soigneurs pendant qu'il s'occupait des quatre fous qui arrivaient en courrant. Je me dirigeais donc au pas de course sur les deux peaux pâles restées en arrière, qui commençaient à comprendre leur erreur. Ma lance transperça plusieurs fois leurs ventres a travers leurs frêles robes, mon maître me regardant les finir au milieu des cadavres de Matis.

Mais ça ne faisait que commencer, mon casque cacha ma peur lorsque je vis arriver le reste de leur armée : des dizaines de Matis en formation. Quand ils virent leurs semblables à nos pieds, ils chargèrent au nom du royaume Matis. Mais la peur à du changer de camp car loin d'être impressionnés on se jète à leur rencontre. A partir de là, la rage m'a submergé mais mes souvenirs demeurent fidèles : on se battait au milieu de cette meute, jusqu'à ce que je m'écroule, un coup venu de je ne sais où avait trompé ma vigilance et mon armure. Ce coup m’avait fait perdre connaissance, cependant j’entendais toujours les cris de douleurs des Matis qui tomber un a un puis plus rien, le silence m’entoura était-je mort ? Etait ce cela la mort que l’on redoute tant ? Soudain quelques images commençaient a apparaître alors j’eu une certitude je n’était pas mort c’été comme un rêve, les images apparaissait en flash, très flou je ne me souviens pas bien ce que j’ai vu mais il me semble avoir aperçu une femme entourée de gardes puis plus rien ce n’est que plus tard que j’ai compris qui elle été vraiment c’était Jena Déesse du Soleil et Créatrice D’Atys. Etait ce elle qui m’avait sauvé ? Ou avais je juste eu de la chance ? Cette une question a laquelle je n’ai toujours pas trouvé de reponse.

Mon réveil fut douloureux, mes membres engourdis avaient perdus toute force alors que je renversais le cadavre Matis tombé sur moi. J'ai trouvé mon maître tout de suite : il avait succombé le dernier. Gémissant et pleurant, je regardais ma lance et la sève Matis qui y coulait, je jurais de recommencer. Beaucoup de Matis de haut rang étaient morts aujourd'hui, mais ce fut une sombre journée pour notre peuple, qui avait perdu un des ses meilleurs guerrier. Comment obéir à un autre Homin maintenant ?

Alors très tôt j'ai voyagé, errant de territoires en territoires cherchant le chef des armées Matis qui m’avait priver d’une personne extrêmement chère a mes yeux.


Sur une histoire vraie de Yento redigé par Zono