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De EncyclopAtys

 
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"... Je suis la petite-fille d'une guerrière matis dont même le nom est oublié. Cette homine m'a éduqué par ses longs silences et dans le culte austère de sa fille disparue dans l'obscurité d'un nid kitin. Ma mère. Je me souviens encore de cette vieille femme pour qui chaque mot était une injure au deuil de son héritière. Issue d'une petite noblesse honorable, elle avait préféré se taire devant la mort de ses proches et la condition déplorable de son peuple en fuite. Toujours assise, âgée mais puissante, une lourde épée dans ses mains, l'armure sale et le l'oeil brillant, savante mais déchue...
 
"... Je suis la petite-fille d'une guerrière matis dont même le nom est oublié. Cette homine m'a éduqué par ses longs silences et dans le culte austère de sa fille disparue dans l'obscurité d'un nid kitin. Ma mère. Je me souviens encore de cette vieille femme pour qui chaque mot était une injure au deuil de son héritière. Issue d'une petite noblesse honorable, elle avait préféré se taire devant la mort de ses proches et la condition déplorable de son peuple en fuite. Toujours assise, âgée mais puissante, une lourde épée dans ses mains, l'armure sale et le l'oeil brillant, savante mais déchue...
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...Je suis la petite-fille d'une grande dame sans nom qui attendait que sa fille revienne; sa fille qui s'affairait de toutes choses et qui eu un avis sur tout. Sa fierté que mon jeune age ne pouvait remplacer. Elle ne me détestait pas mais continuerais à m'ignorer encore tant ma présence lui rapellait l'absence de la séve de son corps. J'ai toujours admirer ma grand-mère pour sa fidélité et j'exècre encore cette mère que je n'est pas connue pour m'avoir infliger une si lourde prison...
 
...Je suis la petite-fille d'une grande dame sans nom qui attendait que sa fille revienne; sa fille qui s'affairait de toutes choses et qui eu un avis sur tout. Sa fierté que mon jeune age ne pouvait remplacer. Elle ne me détestait pas mais continuerais à m'ignorer encore tant ma présence lui rapellait l'absence de la séve de son corps. J'ai toujours admirer ma grand-mère pour sa fidélité et j'exècre encore cette mère que je n'est pas connue pour m'avoir infliger une si lourde prison...
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... Je suis la petite-fille d'une guerrière qui ne me parlait pas et je suis la fille d'une mémoire morte qui ne voulait pas être oubliée.  
 
... Je suis la petite-fille d'une guerrière qui ne me parlait pas et je suis la fille d'une mémoire morte qui ne voulait pas être oubliée.  
 
Toi, Mémoire je te maudis. Tu m'as volé le seul homine qui pouvait me regarder, me réconforté. Mémoire, je te retrouverai et je te tuerai pour enfin recevoir les douces paroles de la plus fidèle des guérrière matis."
 
Toi, Mémoire je te maudis. Tu m'as volé le seul homine qui pouvait me regarder, me réconforté. Mémoire, je te retrouverai et je te tuerai pour enfin recevoir les douces paroles de la plus fidèle des guérrière matis."
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"... C'est ici que ma fidèle grand-mère est morte, accompagnat l'armée de notre roi, portant l'armure défoncée de sa fille, cette sale Mémoire. C'est ici que son oeil brillant se retourne encore vers moi au moment du dernier soupir. La tête dénudée, ravagée, que l'armure avait quitté. Je te tuerai Mémoire et cette fois la plus fidèle portera mon armure."
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"... C'est ici que ma fidèle grand-mère est morte, accompagnant l'armée de notre roi, portant l'armure défoncée de sa fille, cette sale Mémoire. C'est ici que son oeil brillant se retourne encore vers moi au moment du dernier soupir. La tête dénudée, ravagée, que l'armure avait quitté. Je te tuerai Mémoire, je te tuerais et ma grand-mère reviendra pet-être. Et cette fois la plus fidèle portera mon armure."

Version du 2 septembre 2005 à 22:58

Paroles près d'un vieille ruine dans les primes

"... Je suis la petite-fille d'une guerrière matis dont même le nom est oublié. Cette homine m'a éduqué par ses longs silences et dans le culte austère de sa fille disparue dans l'obscurité d'un nid kitin. Ma mère. Je me souviens encore de cette vieille femme pour qui chaque mot était une injure au deuil de son héritière. Issue d'une petite noblesse honorable, elle avait préféré se taire devant la mort de ses proches et la condition déplorable de son peuple en fuite. Toujours assise, âgée mais puissante, une lourde épée dans ses mains, l'armure sale et le l'oeil brillant, savante mais déchue...

...Je suis la petite-fille d'une grande dame sans nom qui attendait que sa fille revienne; sa fille qui s'affairait de toutes choses et qui eu un avis sur tout. Sa fierté que mon jeune age ne pouvait remplacer. Elle ne me détestait pas mais continuerais à m'ignorer encore tant ma présence lui rapellait l'absence de la séve de son corps. J'ai toujours admirer ma grand-mère pour sa fidélité et j'exècre encore cette mère que je n'est pas connue pour m'avoir infliger une si lourde prison...

... Je suis la petite-fille d'une guerrière qui ne me parlait pas et je suis la fille d'une mémoire morte qui ne voulait pas être oubliée. Toi, Mémoire je te maudis. Tu m'as volé le seul homine qui pouvait me regarder, me réconforté. Mémoire, je te retrouverai et je te tuerai pour enfin recevoir les douces paroles de la plus fidèle des guérrière matis."


Paroles près Du Vortex du Gouffre, en face des jardins.


"... C'est ici que ma fidèle grand-mère est morte, accompagnant l'armée de notre roi, portant l'armure défoncée de sa fille, cette sale Mémoire. C'est ici que son oeil brillant se retourne encore vers moi au moment du dernier soupir. La tête dénudée, ravagée, que l'armure avait quitté. Je te tuerai Mémoire, je te tuerais et ma grand-mère reviendra pet-être. Et cette fois la plus fidèle portera mon armure."