La guilde Prieuré des Racines n'existe plus à la surface de l'Ecorce.
Si cette guilde existe toujours, veuillez enlever ce bandeau, merci.
Ambre de guilde | |
Le Prieuré des Racines | |
Leader | Thanys |
Hall | |
Nation | Matis |
Faction | Karavan |
Le Prieuré des Racines est une jeune guilde Matis fondée par le Prior Thanys, prêtre de la Génitrice. La guilde se veut un regroupement de réfugiés fidèles à la Monarchie héréditaire Matis, et aux traditions ancestrales du peuple Matis qu'ils cherchent à recouvrer, approfondir et diffuser au sein de la population de réfugiés.
Le Prieuré des Racines est une guilde Roleplay, Matis, fidèle au Roi et à la Karavan.
Elle repose sur le double principe de la sévérité extérieure, et de la décadence intérieure.
Le Prieuré regroupe en effet des personnages aux positions très conservatrices, à l'attitude extérieure très traditionnelle, voire choquante pour les adeptes des opinions nouvelles (hominisme, etc). Mais cette apparence extérieure s'accompagne aussi d'une facette plus sombre, d'un comportement plus trouble. Forts de leur conviction de représenter une forme d'élite religieuse, les membres du Prieuré explorent toutes les voies qui, selon eux, permettent de faire vivre la foi en Jena et la civilisation Matis idéale.
Chaque réfugié du Prieuré doit trouver cette Voie, celle qui lui convient le mieux, soit en imitant la manière de faire d'un mentor (interne ou externe à la guilde), soit en inventant la sienne. Chaque Voie, une fois créée, instaure ses propres rites, ses habitudes et ses coutumes, voire son jargon particulier qui en font, à terme, une petite "caste" à part. Le seul véritable point commun entre les voies est leur objectif unique, qui est le service de Jena et de la civilisation Matis. On verra ainsi des Prêcheurs, dont le rôle est de répandre la Loi Divine, cotoyer des Courtisanes, fonction spécifiquement Matis dédiée au culte de la Beauté.
En tant que Guilde, le Prieuré a pour rôle de donner un cadre à ces Voies, en les recensant et en organisant des activités roleplay autour d'elles. Il s'agit donc d'une structure d'organisation, et non d'une "guilde puissance" destinée à conquérir l'arme à la main les avant-postes ennemis.
Les éléments de RP collectés par le Prieuré, et conservés dans ses Grimoires, seront mis à la disposition des roleplayers des autres guildes Matis, afin que ceux qui souhaitent jouer un personnage "typique" puissent le faire, en ayant à portée de main à la fois des éléments concrets de background, et un "réseau" de personnages jouant déja ce rôle. Par l'intermédiaire des rites et des cérémonies, on pourra ainsi voir se créer une "caste de courtisanes matis", ou un groupe de "guerriers saints", ayant les mêmes références sans pour autant jouer dans la même guilde. Ces personnages pourront se retrouver via des events ou des activités communes, en plus de celles qu'ils pratiquent actuellement.
Le Prieuré est dirigé par un Prior, dont le rôle se limite à celui de guide spirituel des Prieurs et Prieuses.
Les membres fondateurs du Prieuré étaient tous originaires de la guilde de l'Etoile d'Obsidienne, le Prior Thanys en étant l'un des fondateurs après avoir été membre du Cercle de Sokkarie défunt.
Organisation d'events liés aux traditions ou à la religion Matis, tout ce qui peut contribuer à renforcer l'immersion RP au niveau de la civilisation.
Les Principes du Prieuré, par Ser Maliani Allori, Guerrier Dévôt ("Matti")de Jena :
Tout matis n'agit que pour ce seul but. Jena, la Créatrice, leur Mère, leur a promis de les sauver. Elle l'a déjà fait par le passé, quand le Grand Dragon avait mis en esclavage ses enfants. Mais cette fois-ci, ce salut qu'ils attendent sera définitif et infini. Il effacera le passé comme il guide leur présent. Il fera d'eux, de façon éternelle, le peuple qu'ils ont toujours été destinés à être.
C'est celui de leur Sainte Mère, celui qui fait qu'elle les aime tous identiquement, dans la caresse comme dans le châtiment. C'est celui qui doit guider leurs actes. L'amour de la déesse, l'amour de leur royaume, l'amour de leur peuple, l'amour de leur culture. Et parce qu'ils aiment comme la déesse le demande, ils répandent cet amour de toutes les manières possibles, pour sa gloire. En son nom.
Car elle, la Créatrice, ne pense qu'à eux, ses enfants, ils doivent ne se préoccuper que de celà. En servant la déesse, ils défendent l'Homin contre les démons qui veulent le sacrifier au profit d'une planète. Et le salut de l'Homin passe par la défaite de ceux qui sont corrompus. Il passe par l'acceptation de la Sainte Parole par tous. Un être vivant hors de ces mots n'est plus homin et ils se doivent de corriger ça.
Ils se doivent d'exceller dans tout ce qu'ils font. Non pas d'être le meilleur en tout, mais d'être le meilleur dans leur voie. Chacun doit trouver sa place et l'assumer du mieux possible, savoir qui il est et l'accomplir. C'est à ce seul prix qu'ils pourront répondre à la bienveillance de la déesse.
Tout matis se doit d'être dévot. Envers sa lignée pour qui il doit se souvenir et transmettre. Envers sa caste pour il doit montrer du respect. Envers son peuple pour qui il doit faire le mieux. Envers son roi pour qui il doit obéir sans doutes. Envers la Sainte Mère pour qui il doit aimer. A chaque dévotion sa forme, à chaque matis sa manière de prier, seule la profondeur de cela compte.
Contrôler, maîtriser, dompter, ordonner et se servir des forces naturelles est essentiel pour le peuple matis. Cet acte sert la déesse en favorisant l'Homin, lui offrant les moyens de se protéger. Cet acte sert la déesse en repoussant le mal kami, souhaitant une nature cahotique et donc dangeureuse, prenant le dessus sur l'Homin. Cela sert la déesse en faisant du monde une perfection qui vise à atteindre la sienne.
Comme ils veulent ordonner le monde, leur société se doit de l'être. La déférence, la politesse sont les moyens d'éviter le chaos, de montrer le respect que chaque caste doit aux autres, même quand les tensions habitent les mots. La courtoisie est la fondation de l'ordre hiérarchique.
Rien n'est ordonné qui ne soit beau. Il faut donc rechercher la beauté en toutes choses. La beauté des corps, des sentiments, la beauté des êtres, des échanges sociaux, la beauté des formes, des lieux où ils vivent, la beauté du verbe, des mots qu'ils parlent, la beauté des actes, des gestes qu'ils font. Il leur faut toucher au beau de la déesse et en inonder Atys.