De EncyclopAtys
Sommaire
Carte d'identité
- Nom / Prénom : Owimboweh, ou Owim pour les intimes / flemmards
- Race : Zoraï
- Allégeance : aucune pour le moment
- Guilde : aucune pour le moment
Journal
Nivia 2547
Allez, laissons une petite trace écrite sur cette belle planète ! ('faut bien que je sois célèbre un jour où l'autre)
Bon, par où je commence ?
Je suis Owimboweh, un jeune Zoraï qui a grandi dans le campement des Rangers près des ruines de Silan. J'ai commencé récemment ma formation auprès des différents instructeurs du camp pour préparer mon voyage vers le continent.
J'avoue que je serais bien resté quelques années de plus dans le camp mais Nomis Merclao a insisté pour que je parte, je crois qu'il en a marre de me voir glander à longueur de journée alors que la plupart des Homins de mon âge sont déjà partis depuis un moment. C'est lui qui m'a plus ou moins pris sous son aile dès le début, d'ailleurs il adore raconter (de manière théâtrale et en inventant des détails croustillants) mon arrivée un peu spéciale sur le camp. Je vous laisse donc écouter sa version de l'histoire (que j'ai entendu environ 16000 fois).
Arrivée d'Owimboweh sur Silan, par Nomis Merclao
"C'était il y a une vingtaine d'années, une nuit assez terrifiante, où l'on entend des bestioles roder et des Gingos hurler à la mort pas très loin, une de ces nuits où l'on se demande même si le campement est encore un endroit sûr. Le temps lui-même n'était pas très rassurant, c'était un orage très violent mêlé à de la neige, ce qui était étonnant pour une nuit d'automne. Malgré la tempête, je patrouillais autour du camp pour repousser les hordes de Gingos enragés avec mes meilleurs sorts..." (ça il l'a surement inventé, les ils ne s'approchent jamais aussi près, enfin bref)
"Soudain, alors que je résistais courageusement à une trentaine de bêtes féroces, une énorme machine (semblable à celles de la Karavan mais d'une taille impressionnante) se téléporta à quelques mètres de moi dans les airs, cette apparition fit fuir immédiatement toute la meute de bêtes. Je restais immobile face à cet étrange bâtiment flottant à quelques mètres du sol, essayant de comprendre ce que c'était. Une successions de bruits métalliques se firent entendre, et un large rayon lumineux s'éclaira jusqu'au sol, à l'intérieur de cette lumière quelque chose commençait à descendre... Et là alors que je m'approchais... BOUMMMM !!" (il fait lui-même les bruitages très fort à la bouche pour faire peur aux enfants) "La foudre tomba sur la grosse machine qui disparut dans le ciel en laissant deux trainées de feu ! Sur le sol, à la place du rayon de lumière, gisait un Mektoub couvert de sang, et blotti contre lui se trouvait un bébé Zoraï pleurant de toutes ses forces."
"Je les ai tout de suite amenés en sécurité au campement après m'être débarrassé rapidement d'une dizaine de bêtes qui revenaient à l'assaut." (c'est ça ouais) "Je les ai ensuite déposés dans ma tente, et Chiang Le Fort m'a rejoint. Le tout jeune Zoraï s'était finalement endormi et Chiang soignait le Mektoub, sérieusement blessé. Ses blessures semblaient avoir été provoquées par des Kitins, il avait sûrement servi de 'bouclier vivant' pour protéger le Zoraï."
"Le Mektoub a guéri de ses blessures quelques semaines plus tard et a vécu plusieurs années sur Silan (avant d'être finalement transféré vers le continent), toujours accompagné du jeune Zoraï qui grandissait au fur petit à petit. Quant à l'origine de leurs noms ce n'est pas très recherché : "owimbowé" a été le premier son sorti de la bouche du Zoraï, et quand celui-ci disait "owimbowé", son compagnon Mektoub répondait par un cri bizarre qui donnait à peu près ça : "powo". Et voilà, encore une aventure fantastique du valeureux Nomis Merclao, venu à la rescousse d'Owimboweh et de son fidèle ami Poh-Woh." (ben voyons)
Voilà donc pour la petite histoire de mon arrivée sur le campement. Je ne vous cache pas qu'une de mes principales motivations une fois sur le continent sera de retrouver la trace de Poh-Woh et de continuer l'exploration d'Atys avec lui. Pour le moment j'ai encore beaucoup de choses à apprendre dans tous les domaines avant de faire le grand saut, tant que Nomis Merclao m'appellera "le bleu" (en même temps je suis un Zoraï hein) c'est que je ne serai pas encore prêt.