Phoenixia
Petit nom : Phoe. Prononcé Fé, pas Foé !
Citoyenne Tryker de race Fyros de religion kamiste, faisant partie de la Tribu Talodi.
HISTOIRE D'ENFANCE
Aelion et Ulykos entamaient encore une de leur journée de labeur au petit matin. Ce couple faisait partie d'un camps de nomade qui parcouraient le désert brulant à la recherche de matières premières, qu'ils extrayaient avec un savoir-faire acquis après plusieurs années de travail. Lorsque Aelion relèva la tête, comme à la recherche de quelquechose.
-Où est-elle encore passée ? dit-elle le front soucieux. La tête d'un adolescent aux cheveux noirs, un peu plus loin se relèva de sa source :
-Ne t'inquiètes pas maman, je vai voir où se trouve ma soeurette. C'est vrai que c'est un petit danger ambulant à elle toute seule, finit-il de dire avec un sourire. Après quelques minutes de recherches infructeuses, il entendit des cris de gamins.
-Lâche moi, sale peste, cria la voix d'un petit garçon aux cheveux rouges en essayant d'échapper à une petite furie aux cheveux noirs de jais.
-Attend, je n'ai jamais vu de cheveux d'un tel rouge, laisse moi voir ! dit la petite en tirant une mèche épaisse de cheveux au petit garçon.
-Phoenixia ! Arrêtes ! Laisse le ! dit Xacaon en prenant sa soeur dans ses bras et l'éloignant. Tu ne peux pas embêter les gens comme ça enfin !
Mais la petite fille ne l'entendant pas de cette oreille se débatit, échappa à l'étreinte de son frère et alla se placer devant le petit garçon. Le regarda et lui dit en mettant ses petites mains sur ses hanches :
-Tu as osé m'apeller peste ? C'est pas très gentil...
-Phoe ! Suffit !
Sous l'injonction de son aîné, Phoenixia fit demi-tour prête à le suivre, se retourna et dit : -On se retrouvera, se retourna et couru vers son frère.
-Désolé petit, dit Xacaon au jeune garçon, prenant sa soeur par la main et entrainant celle-ci qui en profitait pour faire au petit garçon toutes sortes de grimaces. Le petit garçon resta un moment hébété en se demandant à quel genre de petite folle il avait eu à faire. Quand un cri se fit entendre. Il se dirigea vers le cri.
-Alors, où étais-tu passé petit ? Viens, retournons auprès des autres, Valgar mon garçon.