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Chronique Onzieme

Tannick Ar Erminig Ru

Les voies commencaient a gronder sur le marche de Pyr, cela faisait bien des lunes que je n y avais pas mis les pieds. Mon recents voyage des les Primes racines m avait si longtemps coupe de la civilisation que jen avais oublie tout ce bruit. Le calme des soutterrains commencait a me manquer, cependant le manque de vie qui y regnait me poussait plus en avant vers cette tumulte d Homins. Peut etre avec un peu de chance je pourrais la revoir cette douce Fyros aux yeux bleu, celle qui avait su, encore plus que Lei, m adoucir le coeur. Je m attardais d etale en etale regardant chaque produit sans les voirs, appreciant chaque gravure sur les boucliers sans les visualiser. Tout monattentione tait aux personnes que je croisais, peut etre, enfin j esperais pouvoir la croiser. Devant la boutique de son pere, je me retrouvis a rever avant de constater que le volet etait clos. Aucune marchandise n etait en vente, rien ne montrait une activite quelconque dans le magasin. Intrigue par ceci j interpela le marchand tenant l echope voisine: "- Excusez moi... Mais pourquoi le magasin de la famille Cence est il ferme ? - Vous ne savez donc pas ? Il se mit a rire de facon forcee. La fille du vieux avait eu la mauvaise idee de s amourancher d un militaire, un de ses fou d idealiste qui pense que le faite de porter une arme peu calmer les esprits. Enfin tout ca pour dire que l'vieux il a suivis sa fille qui est partie sous l ecorce pour le retrouver son yubo d amour..... *long silence* Il etait revenu lui ..... oui lui seul, elle, elle doit encore etre a jouer de trophee a une tribu de la route des ombres, lui par contre il avait perdu un bras et ..... sa raison aussi ..... - Comment ca.... Etait revenu ? il est reparti ? - Euh non l es pas reparti le vieux bougre .... enfin si..... les kamis l ont rapele, il etait amoche le pauvre. Il a pas survecu, il a..... euh comment dire..... succombe a ses blesssures. C etait les 2 derniers Cence de Pyr, un vieux collegues que cetait le vieux.... Les yeux du fyros commencait a rougir les larmes a pointer au bords de ses paupieres, chaque mot dit etait comme une lame decoupant son coeur meme si il faisait tout pour le masquer. -Merci, le coupis je. C est tout ce que je voulais savoir." Je posis alors ma main sur son epaule et l empogna comme pour lui dire que je le comprenais, mais c etait la la seule chose faisable pour le reconforter, si jamais je pouvais le reconforter. Elle etait donc parti me chercher dans les primes alors que moi meme je cherchais mes parents. Mon ame commenca a se tordre de douleur. Elle etait parti et plus jamais je ne pourrais voir son sourrire, plus jamais je ne lui fairai decouvrir le desert lors de nos balades a la tombe de la nuit. Bien des choses viennent de se clore..... tant de souvenir avec elle..... et maintenant ce sont bel et bien des souvenirs, des reliques du passe.

Je m en allais dans les allees du marche, perdu dans mes songes et trouble par ma peine. Je commencais a me faire balloter par les gens passant autour de moi, d un coup d epaule a un coup de coude, je me retrouvis expulse de la foule, et je trebuchis sur une charmante Fyros. Gene je me resaisis, aidant la demoiselle a se relever a son tour. Amusee elle me fit un large sourrire, belle recompense pour peu qu elle etait, mais insuffisante pour soigner mon coeur blesse et meurtri.

Je me decida a quitter ce lieu de bruits et de poussieres, et me dirigea vers la porte nord de la ville et je me mis a suivre le vent comme je le fis lors de mes voyages en Aedden Aqueous. Je passais les dunes apres les autres en direction de l ouest, quand l oasis d Oflovak commenca a se dessiner face a moi, sur un fond de falaise imposante, toute cette eau semblait salutaire a un repos.

Au pied d un arbre, une forme, allongee..... Qu etait ce, ou qui etait ce? je m approchis doucement et decouvri une jeune fyros qui semblais extenuer. A rester ainsi, elle se fairai devorer avant le leve du soleil, soit je resterais la jusqu a son reveil afin qu aucune bete ne vienne la deranger pendant son repos. De plus de voir cet jeune homin etait comme un reconfort, je pouvais veiller sur cette Fyros, comme pour palier au manque de protection a l homin de mon coeur.

Nathou

Ouvrant doucement mes yeux, je vis cet homin qui m effraya tous vetu de noir. Il se presenta a moi avec une voix si douce qu elle apaisa rapidement toutes mes craintes. On parla un petit moment. Il me demanda d ou je venais et qu est ce que je faisais seule ici et je me mis a lui raconter ce qui c etait passe dans mon village jusqu au moment present. Il ecouta paisiblement mon recit. Le soleil commenca a bien monter dans le ciel et il me proposa d aller nous refugier dans la ville de Pyr car dans le desert il ni a aucun endroit sur, et c est ce que nous fimes. Et nous parlions tout en traversant cette immensite de sable qui me semblait sans limite et sans fond, avec ses animaux que je redoutais tant. Et nous arrivons a Pyr, cette ville immense que tant de monde dans mon village parlait, au point que celci ma fesait peur avec son amplitude, ses grandes murailles taille dans la roche et par la fumee sortant de son enceinte. Quand on y entra, un brouhaha se fit recentir, tant de monde... Par la suite, il me presenta a plusieurs de ses feres d armes, nous fimes beaucoup de sorties et de chasses ce qui me rapprocha d eux... soit de vous.


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