Il existe quatres races sur Atys, et chacune d’elles dispose de son propre peuple et passé historique.
Apprenez à connaître votre peuple, vos alliés, vos ennemis. Bien plus que la base d’un jeu de rôle, les informations contenues dans cette section vous permettront d’obtenir les clés pour mieux appréhender le jeu.
Les Fyros se veulent le peuple guerrier d’Atys. Leurs valeurs suprêmes sont le courage et la gloire. La grande ambition des Fyros est de chasser le « Dragon », la créature soupçonnée d’avoir causé les grands incendies ayant précédés les invasions kitins. Peu fervents de nature, les Fyros tendent de plus en plus à se rapprocher des Kamis.
Raffinés, ambitieux, les Matis sont les fiers héritiers d’une très ancienne monarchie et cherchent à restaurer leur royaume perdu. Ces esthètes cultivés maîtrisent la botanique et forment un peuple à la fois romantique et conquérant. Ils estiment que chaque homin doit faire ses preuves pour trouver la place qu’il mérite dans la société. Ce sont les plus fidèles serviteurs de la Karavan.
Peuple le plus petit en taille, les Trykers sont pacifiques, épris de liberté et bons vivants. Ils rêvent d’un monde sans tyrannie où il n’y aurait ni maître ni esclave. Curieux, ils sont d’excellents explorateurs et inventeurs. Ils maîtrisent ainsi parfaitement les technologies éoliennes. Si on les menace, les Trykers savent répondre et dévoilent alors des talents insoupçonnés de combattant. Ils considèrent la Karavan comme les fervents disciples de la déesse Jena.
Les Zoraïs sont les Homins les plus proches des Kamis. Le Masque qui les distingue est un don des Kamis. Leur civilisation respecte leurs paroles et lutte contre leur ennemi, la Goo. Les Zorais vivent dans la jungle, domaine de prédilection des Kamis et de leur Fléau, la Goo…
Lors du Grand Essaim, tous les homins n’ont pas pu quitter les Anciennes Terres par le biais des arcs-en-ciel. Certains ont dû rester et ont dû faire de nombreux sacrifices pour pouvoir survivre. Au fil des années, ils ont pris le nom de Maraudeurs. Cette société, où règne la loi du plus fort, se base sur une structure clanique. Abandonnés des deux grandes puissances, ils ne croient plus qu’en leur propre force.