Zorro avait erré longtemps dans les camps de réfugier, passant le plus clair de son temps dans un premier temps de soigner. Au début, il soignait les blessures physiques parfois se risquait, aussi à vider des venins, ou faire disparaitre des poisons. Le chercheur-foreur devenait peu à peu guérisseur.
Pendant ces huit longues années, il perdit de nombreux amis et proches, osera-t-il un jour avoué même qu'il y avait parmi ces ombres du passé des amies à sui il aurait bien avouer plus que de l'amitié... Mais Zorro comprenait moins les homines que l'écorces dont il redoutait moins les caprices et les explosions.
Quand il revint sur ses pas, dans les Lacs enfin libérés de l'horreur kitine, il n'avait plus la force de mener de front la reconstruction de sa guilde et de l'ASA, qu'il rebaptisa N'ASA en l'honneur des autres survivants parlant un autre dialecte. Mais il refusa d'accepter que la guilde de Hoodo mourut. Il espérait en vain le moment où elle renaîtrait de ses cendres, une guilde qui, à l'instar de la N'ASA, réunirait tous les Atysiens quelque soit non seulement leur sève mais aussi aussi leur dialecte.
Et le jour vint de l'Empire, comme il devait avoir été à la naissance de Hoodo même, bien avant avant Zorro, bien avant le premier essaim.
Un jeune fyros recherchait des chercheurs s'intéressant au Dragon. Il avait appris qu'il y avait une guilde secrète qui s'y intéressait et qui accumulait tout le savoir fyros. Il erra dans les rues de pyr, dans le désert... mais ces savant fyros avaient l'air bel et bien disparus.
C'est alors qu'il rencontra Zorro qui lui prodigua des soins car le pauvre fyros manquait cruellement d'entrainement et était mortellement blessé au cours de l'une de ses quêtes. Ce dernier pensa d'ailleurs qu'il ne s'agissait de l'un de ces nombreux guerriers sans guilde qui traînent dans les rues de Pyr à la recherche d'un emploi. Mais à sa grande surprise, ce guerrier débutant, encore assez inexpérimenté, s'avérait être un personnage complexe, curieux. C'était un guerrier qui aimait l'art martial plus que l'art de faire couler la sève. C'était pour lui un art de maitrise qui permettait de protéger les plus faibles (en attendant, c’était zorro qui l'avait aidé, ce qui voulait dire qu'il avait encore du chemin à faire...)
... à suivre..