De EncyclopAtys
Chansons
Allori !
Nombreuses familles Matis
Dans les griffes Kittins se sont éteintes
Nombreux frères et soeurs
Dans les racines se sont égarés
Et dans la Goo, patronyme s'est estompé
Nobles Guerriers, Vassaux fidèles
Allori furent de ceux là
Qui dans la sève et l'écorce
virent leur unicité lacérée
Et leur noblesse anihilée
Réfugiés et Jeunes Homins
Allori furent comme tout autre
contraints à l'exil
Et leur Maison rebatir
Leur honneur reconstruire
A présent est leur dessein
Purs Matis, éveillés et rusés
Voici Maliani l'ainé
Qui prospecteur des Forêts
Les Arts du combat à maitrisé
Et son frère Houtini, marchand renommé
du trésor ancestral détient la clef
Né de l'écorce fut recueilli
élevé et révélé, le magicien Sarkeni
de ses mains sorts et maléfices
enchantements et émerveillements surgissent
Pur et idéaliste, Cousin Dopia
Vierge de la Goo et hoministe
du don de sève s'illumina
Quand à votre serviteur
D'Allori Maîtres D'Armes
la progéniture je suis
Force brute, trouvère et double lame
D'allori l'âme du bras armé
De la plume ou de l'épée
Ainsi que mes ancestres je serai
Aujourd'hui gents homins
Peuples d'Atys et Etres Sacrés
La nouvelle est proclamée
Patronyme est retrouvé
Allori à nouveau renait
Jena en soit louée, Matis renommés
D'Allori, La Maison vous salue !
L'orage
Brillante comme l'éclair
De peur que je n'apprenne
à trop bien vous connaître
D'un voile de rires et d'humeurs
Discrète, vous vous recouvrez
Courtes sont vos phrases
Et maints sont mes mots
De vous rien je ne connais
Mais de l'amour que vous me portez
Un instant je ne puis douter
Vive comme la foudre
De peur que je ne vous retienne
Jamais vous ne dites les mots
Que vous ne voudriez dire
Et de mille façons, vous vous échappez
Douceur et rudesse
Caresses et griffures
De vous ma maîtresse
J'aime les morsures
Mais par dessus tout
C'est de vos yeux que j'adore la brulûre
Unique comme le déluge
De peur que je vous confonde
De la foule vous vous tenez à l'écart
Vous demandez plus que les autres
Madame, j'ai tout à vous donner
Des plus hautes cîmes de nos forêts aux tréfonds des lacs
Du sommet vertigineux des falaises aux gouffres sans fond des jungles
Que mes semblables de toutes races
Puissent comme moi connaître
L'orage de la Passion et la douceur
De l'Amour d'une homine
Et Atys reverra ses enfants
repeupler ses champs fertiles