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Psychée d'Alanowë

Fille de Liandra d'Alanowë, aussi nommée Eleena d'Aquilon, fille d'Aarkon d'Aquilon

Surnommée la Zoraï Blanche, membre Novice des Libres Frontaliers

Description

Adolescente matis albinos de 16 ans environ. Depuis sa résurrection, alors qu'elle avait été annoncée morte, et dit-on avait été enterré, elle ne grandit plus, alors que l'on peut supposer qu'elle devrait avoir environ 22 ans. Chétive, faible, fragile, elle semble incapable de tenir une arme, mais se soumet au sein des Libres à un entrainement hérité des cours et formations de sa défunte mère, et se bat désormais avec l'immense épée à deux mains familiale des Alanowë. Ce qu'elle ne possède pas de force, elle l'a de résistance et de courage, malgré son aspect maladif, et elle a déjà survécu à des blessures et des atteintes mortelles en s'en remettant toujours. Elle porte sur le corps deux blessures très marquantes: Une cicatrice sur le flanc, de la taille d'une main, une lance lui ayant traversé le flanc de par en part, et une autre marque en forme d'étoile, cicatrice parfait d'un coup de poignard en plein coeur.

Une chose toujours surprenante est la capacité des objets investis de sève à vibrer et emettre ue sorte de chant cristallin quand elle est très proche, ou les touche. Cela ne dure jamais qu'un instant, mais est systématique.

Personnalité

Suit à sa seconde perte de mémoire à 14 ans, elle a été réeduquée comme une Matis par Liandra, sa mère adoptive, et Florimelle, une prêtresse de Jena moderée, mais était anciennement une très jeune adolescente pétrie de culture zoraï. Quand sa mémoire revint de man ière parcellaire, elle conserva ces deux éducations, et ces deux cultures, même si elle du abandonner son attirance pour les zoraïs et le Pays Malade, ceux-ci considérant que sa nouvelle éducation, et sa foi en Jena faisaient d'elle une traîtresse.

Son premier trait de caractère est son pacifisme, qui confine à une phobie de la violence. Elle n'a jamais levé la main sur un homin, et est incapable, même sous le coup de la colère, d'agresser quelqu'un ou de l'insulter. Son pacifisme lui a joué de mavais tours, son homonisme lui faisant sauver ses pires ennemis ou la poussant à avoir pitié du dernier des assassins. Cepandant, depuis la mort de sa mère, elle semble se forcer à apprendre le combat, et manier la grande épée vivante familiale. Comme tout Atys, elle se prépare à la guerre qui approche

Son second trait de caractère est une personnalité fragile et franche, dénuée de la nature retorse des matis. Elle exprime ses émotions, et ne peut les cacher, n'a jamais menti ou presque de sa vie, et conçoit très mal l'idée de tricher ou piéger quelqu'un, même si pour se protéger, elle a reccouru à ces extrémités. Disant toujours ce qu'elle pense, elle attire facilement soit une grande sympathie, soit une très grande rage de la part de ses interlocuteurs, et ce malgré sa propention à toujours essayer de privilégier des rapports de paix et de calme.

Et son dernier trait de caractère est qu'elle cache sous de gros efforts pour avoir une grande joie de vivre un desespoir immense. Elle a perdu par deux trois fois les êtres qu'elle aimait, sa famille naturelle, puis sa famille zoraï, puis sa mère, et vit dans la peur d'un destin dont nul ne sait s'il est mensonge ou réalité. Elle se bat donc contre sa souffrance, contre un désir d'en finir, et essaye tant bien que mal de vivre sa vie interrompue, dans un monde où la guerre devient le seul mot d'ordre.

Portrait

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Histoire de Psychee : Naissance et Généalogie

Histoire de Psychee : La famille Aquilon

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