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[[Catégorie:Histoires]]

Version du 10 janvier 2006 à 18:23

Massacre

Liandra D'Alanowë

Il faisait sombre, et la pluie n'arrangeait en rien la visibilité de l'officier qui ouvrait la route à la trentaine de soldats qui la suivait. Liandra était à la tête d'une mission de routine; une tournée d'inspection des avants postes. Les soldats maugréaient contre le mauvais temps, l'inutilité de ces inspections, la bière infecte d'hier soir et le dîner froid qui les attendaient vu l'heure tardive à laquelle ils rentreraient. Elle écoutait tout cela d'une oreille distraite, un petit sourire aux lèvres. Pour elle le ciel lui offrait une soirée presque parfaite, il ne manquait que l'orage pour parachevé le tableau. Elle inspirât profondément. Il n'y en aurait pas. Une simple pluie qui allait nettoyer les jardins durant la nuit et s'achèverait au petit matin pour laisser place à une nouvelle et fraîche journée. Pas de tempête, dommage... Elle était à ces pensées lorsqu'elle entendit plusieurs sifflements suivis de cris de douleurs derrière elle. Se retournant, elle pu voir plusieurs homins tomber, percés de traits. Ils avançaient sur petit chemin entre deux collines boisées. L'endroit parfait pour une embuscade. Elle maudit ses rêveries puis se reprit rapidement. " Formation kitin!!! " Les soldats se mirent rapidement dos à dos et posèrent un genou à terre, se protégeant un maximum de leurs boucliers tandis qu'elle enfilait rapidement son casque. Une nouvelle volée de carreaux les arrosât des deux flancs, confirmant la présence d'assaillants des deux côtés de la route. L'un d'eux se plantât dans l'épaulière de son armure sans la traversée. Elle arrachât le trait et le brisât de sa main. Du matériel de mauvaise qualité, ce n'était donc pas à des militaires qu'elle avait à faire. Un seul de ses soldats était tombé cette fois, ses compagnons tiraient déjâ l'homin gémissant au milieu d'eux tout en resserrant les rangs. Vint une troisième volée, puis une autre. Bien protégés derrière leur mur d'écus, pas un seul autre guerrier ne fut touché. Puis ce fut le silence. Elle attendit quelques minutes de nouvelles salves, en vain. Ils allaient charger, sans doute conscient de l'inefficacité de leurs armes de jet face aux lourdes armures et aux solides boucliers. Elle murmura quelques mots. " Préparez vous à réceptionner la charge. " Ils laissèrent leurs lances à terre, elles les désavantageraient sur ce terrain escarpé, et dégainèrent leurs épées. Comme en réponse au chuintement des lames sortant des fourreaux ils entendirent quelques cris, puis aperçurent des silhouettes courrant vers eux. Lorsque leurs assaillants furent enfin visibles, elle pu constater qu'ils s’agissait de matis, habillés et équipés de manière hétéroclite. Quelques " Mort au roi ! " et autres cris du même acabit finirent de l'informée sur la nature exact de cette attaque. Des rebelles... "Pour la Couronne! Pour le Duc!" Puis se fut le choc, brutal. Les insurgés, lancés depuis les collines, percutèrent violemment le mur de lames et de carapaces. Ses soldats tinrent bon tandis qu'elle même tranchât le bras d'un présomptueux qui l'avait prise pour cible. Bien, charge désordonnée, de plus l'élan qui aurait dû donné un net avantage à l'assaut se retournait contre eux du fait de leur manque d'entraînement. Mais le nombre de silhouette indiquait que le ratio du nombre était nettement pour eux, ce qui était déjâ moins bien. Néanmoins elle comptait sur le solide entraînement martial de ses soldats pour compenser. La masse de rebelles leur tombât dessus. Les sokkariens tinrent leurs lignes quelques instants mais le combat tournât rapidement en mêlée furieuse. Elle se lancat au milieu de ses adversaires, faisant tournoyer sa lourde hache. Un homine vêtu d'une parok ayant connut de meilleurs jours fonça vers elle en hurlant. Un chef sans doute, où quelque chose dans ce goût. Elle imprimât à sa hache un mouvement oblique qui tranchât net la jambe du rebelle alors qu'il s'apprêtait à frapper. Il tombât lourdement au sol en beuglant de douleur. Un autre homin des bois l'attaquât avant qu'elle ne pu finir son adversaire. Elle parât une frappe maladroite, repoussât l'adversaire d'un coup de manche et lui enfonça la lame dans le ventre. Tirant d'un coup sec, elle ramenât une partie de ses entrailles fumantes avec le soc de son arme et pivotât pour la plongée dans le flanc d'un imbécile qui semblait croire que tenir haut son épée pour frapper était une technique efficace. La lame de la hache perçant le torse de Piteux Escrimeur jusqu'au manche, se retrouvant coincée dans sa poitrine. Un homin la saisie alors par derrière, lui enlaçant le cou d'un bras et plongeant une dague dans la jointure de sa cuirasse, mordant profondément sa chair et ripant contre ses côtes. Au même moment une homine l'attaqua de face, visant sa tête de sa massue. Bien effectué, le coup l'aurait sonnée pour le compte et elle ne se serait sans doute jamais réveillée, mais la matis frappât trop bas et brisa le bras de Lâche qui lâchât sa prise sous l'impact en abandonnât son poignard dans son flanc. Liandra saisit alors le bras de Maladroite et la ramenât brusquement vers elle pour lui mettre un violent coup de tête. Le visage percutât son heaume avec violence, lui écrasant le nez d'où jaillit un flot de sève. Elle profitât de l'étourdissement de son ennemie pour la désarmée et pivotât sur elle même en lançant l'arme sur la tête de Lâche. La masse écrasat la tête du rebelle, qui dégainait une deuxième dague de son bras valide, transformant la moitié de son visage en amas de chair sanguinolente. Se retournant sur Maladroite, elle lui donna un coup de masse dans le ventre qui la plia en deux, puis lui saisit la tête par les cheveux et lui envoyât un violent coup de genoux dans la face. Un craquement sinistre lui indiquât qu'elle ne se relèverait pas. Ramassant une épée, elle chargea un rebelle qui maintenait un de ses soldats à terre en l'étranglant du manche de sa hache et lui plongea sa lame dans le dos. L'homin hurla et relâchât sa prise, permettant au sokkarien de lui envoyer un coup de bouclier qui le sonnât pour le compte. Elle fut alors percutée par un mastodonte qui l'envoyât à terre. Par malchance une des arrêtes de sa masse se coinça dans la ceinture du géant rebelle qui, déséquilibré par sa charge brutale, la suivit dans sa chute. Il tombât à genoux brutalement sur le ventre de Liandra, qui expirât brutalement tout l'air de ses poumons. Avant d'avoir pu se remettre, le rebelle tira sa tête vers lui puis lui assénât un coup de poing d'une rare brutalité qui la renvoya heurté le sol avec une telle violence que son casque se fêlât. Nul doute que sans son armure elle aurait été tuée sur le coup. Elle sentit son cuir chevelu craquer sous l'impact et sa sève commencat a coulée dans son heaume. Le poignard lui fouillait les chairs et raclait contre une de ses côtes à chaque mouvement. Elle réprimât un cri de douleur en se mordant les lèvres et remontât violemment son genou dans l'entrejambe du géant qui beuglât aussitôt. Il mit immédiatement ses battoirs autour de son cou et commentât à serrer tellement fort que les anneaux qui la protégeait se déformèrent. Elle tentât de desserrer en vain l'étau impitoyable. Alors que sa vue commença à se brouillée, elle vit une étrange excroissance se former au niveau du cou du mastodonte, puis se rendit compte qu'il s'agissait de la pointe d'une épée. Le soldat qu'elle avait sortit d'une mauvaise posture venait de lui rendre la pareil. Il écartât le corps d'un coup de pied. " Commandeur? Ca va? Commandeur, la bataille est gagnée, c'était le dernier... " Elle n'entendit pas le reste de son discours, se mit à genoux et retira son casque maladroitement, crachant de la sève. Sa tête était un antre de douleur qui n'avait que peu à envier au flanc où le poignard était toujours enfoncé. Elle reprenait douloureusement son souffle, inspirant des bouffées d'air qui lui brûlait la gorge et expirait en toussant et recrachant de la sève en même temps. Relevant la tête, elle regardât autour d'elle et vit que seuls quelques uns de ses homins étaient encore debout. Une dizaine, au mieux. Ils portaient secours à leurs camarades blessés. Le fracas de la mêlée avait laissé place aux cris des souffrants et aux râles des mourants. Toute la zone était jonchée de cadavres, la terre elle-même semblant avoir du mal à éponger toute la sève qui y était répandue. Joli massacre... qu'ils soient cinquante ou des milliers, les champs de batailles des homins se ressemblaient tous: un endroit de plus puant la viande crue. Le soldat se tenait toujours à côté d'elle et l'aidât à se relevée. Elle grimacat de douleur mais ne laissât échapper la moindre plainte. Elle héla un des sokkariens qu'elle reconnut. " Sergent ! Faites en sorte que nos blessés puissent prendre rapidement la route. Abrégez les souffrances de ceux qui en sont incapables. Les gingos se chargeront de finir le travail des rebelles si l'on ne quitte pas bientôt cet endroit. Exécution! " Le sous-officier aboyât rapidement quelques ordres et les valides commencèrent leur travail. Elle même fit un tour sur ces jambes et reconnut l'endroit où elle avait commencé l'escarmouche. Elle vit l'homin en armure lourde et s'en rapprochât en boitant. Elle avait toujours du mal à respirer et continuait à cracher de la sève. L'autre brute avait dû lui briser des côtes, et l'une d'elle avait certainement percé un poumon. Elle aurait grandement besoin d'un prêtre une fois en ville. Le meneur était mort, il avait finit se vider de son sang. Elle ordonnât à l'un de ses soldats de venir retirer sa hache du corps de Piètre Escrimeur, elle ne s'en sentait plus la force, et vit l'un des rebelles ramper vers un buisson. Elle s'en rapprochât et lui donnât un coup de pied dans le flanc qui le repoussât sur le dos. Il avait le ventre ouvert et hoquetait en s'asphyxiant dans sa propre sève. L'un de ceux qu'elle avait blesser en tournoyant au début du combat. Liandra retirât la dague plantée entre ses côtes en serrant les dents et s'agenouillât sur lui. Il n'était pas bien âgé, pas assez même pour se raser, mais suffisamment pour qu'on lui mette une arme entre les mains. Il pleurait et hoquetait en la regardant de ses yeux larmoyants. " Que veux tu ? ... de la pitié ? Tu vas mourir.... et je n'ai pas de remords pour toi... " A l'aide de la dague elle s'entaillât la peau juste en dessous de ses yeux. Sa sève se mit à couler telle des larmes sur son visage. " Tiens, voilà la seule pitié que j'ai à t'offrir..." Elle laissait sa sève goutter sur le visage du mourant quelques minutes, gardant son regard plonger dans le sien. La souffrance avait quitté ses yeux, seule restait la peur. Peur de mourir, peur d'avoir sacrifié sa vie pour une cause stupide, peur de ne plus revoir sa famille, le soleil où l'être aimé... peu importe la raison, seule la peur subsistait dans ce moment où l'on est conscient de ne plus être en vie tout en étant pas tout à fait mort. D'un coup rapide elle plantât le poignard dans sa gorge. " Tu n'as plus peur maintenant petit... " Elle regardât la vie quitter rapidement ses yeux, puis se releva et commencat à défaire sa cuirasse. Sa blessure saignait beaucoup, il fallait la bandée et se remettre en route...

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Vetu de noir et de par mon armure et les ombres qui me dissimulait, j avais decider pour une fois de m aventurer en territoire des sommets verdoyants pour faire un de ces eclairages qu il m etait devenu si familier. Au detour d un bosquet, un groupe de miliciens peu organise m avait intrigue et mon role etait de surveiller ces homins afin d en faire un rapport a mes superieurs. Les informations sur les troupes d Atys etait toujours un atout lors de possible rencontre par nos rangs. Jouant des lumieres et des avantages de la foret Matis, je me tenais toujours a bonne distance pour ne pas me faire reperer, mais tout en restant a porte d oreille pour mieux les epier. Ils sommencaient a soigner leurs armes comme si le sang allait les apeler quand soudain un jeune homin, pas encore assez vieux pour se raser, mais suffisament age pour tenir une arme arriva sur ce campement de fortune; "-Ils arrivent, ils vont bientot rentrer dans le defile ! -Preparez vous, sortez vos fusils arbalettes, et mettez vous tous en formation." Beugla sans doute leur chef, homin cache sous sa lourde armure Pavok. Je grimpi aussitot dans un arbre profitant de leur agitation pour ne pas etre vu, de ce perchoir personne ne fairai cas de ma presence tout leurs regards seront bientot oriente vers le bas vers ce defile cite. Sautant de branches en branches afin de les suivres durant leur deplacement vers le lieu de leur embuscade, je les epiait comptant de plus belle le nombre des homins qui constituaient cette milice, considerant d autant plus leur force et la strategie que leur rang pouvait inspire. Or il s agissait purement d une milice armee des plus heteroclite, aucun ne semblait etre un vrai guerrier ni meme n avoir jamais ete eleve d un maitre d arme afin de parfaire au travers de tout homin avant de vrais combats. De bien pietres soldats en somme qui n avaient pour eux qu un avantage, celui d une embuscade, maintenant le plus important etait de savoir qui etait leur cible. Je me colis a mon tronc, utilisant de plus bel une enorme ramure pour me dissimule tout en scrutant la faille dont javais entendu parle, j y entendait deja le bruit des armures qui defilaient a l interieur, le bruit des fourreaus frappant les jambieres des armures et surtout le pas cadence d homins entraine a se battre. Les assaillant prire place, les fusils arabalettes armes et prets a tirer, leur chef le bras leve pret a donner le signal. Son bras retombat et un premier vol de carreaux parti des armes, metant rapproche je pu voir les assaillants se fairent surprendre et plusieur tomber sous cette attaque sournoise. Un temps mort, tout le monde rechargeait, une ligne se detachait pour commencer a faire le tour et commencer la descente pour l attaque de melee. Le bras se releva et retomba aussi sec, une seconde volee, mais cette fois ci les insurges avait pris les devant et etait deja pris une position defensive, bouclier en parade, et homin a couvert. Le blason des bouclier m etait totallement inconnu, tout comme les couleurs des armures portees. A peine mes yeux revinrent sur les tireurs que je vis pour la troisieme fois le bras de leur chef retomber et une 3eme volee parti mais sans plus de succes que la seconde, j entendi les homins gromeler, tandis que les soldats en contrebas restaient calme sur leur position. Les miliciens trepignaient, leur troupe de melee avait fini leur detour et attendaient leur tour pour la curee, le chef fit signe aux tireurs de ranger leur fusil et de se preparer a les rejoindre sur le terrain de bataille arme de poing a la main, son epee aillant deja ete sorti il parti tel une trombe pour declancher la charge plus bas. Il ne restait qu une poigne de tireur, mais si ces derniers restaient la, une fois les hostilite lancees en bas, les bouliers tombe, les embusques deviendraient des cibles bien facile, et ayant estime la folie de cette milice, il ne me serait pas etonnant que ces derniers tireurs ai pour consigne de tirer dans le tas et de profiter des boucliers a terre pour faire mouche. Un bruit de carapace, le combat avait commence en bas, meme si il s agissait d inconnus, ce combat etait bien trop inegale, de par le nombre de leur advcersaire mais surtout de la methode utilise qui est des plus vil et sournoise. J empoigni mon epee et ma dague, ressera mon gilet pour qu il ne me gene pas lors de mon saut hors de cette arbre et me tint pret a agir au moment opportun. Le premier commenca a arme son fusil, aussitot j incanta un sort de peur qui fit mouche de suite le pauvre homin aussitot effraye se mit a courrrir dans tout les sens semmant le trouble dans les siens, son voisin me vi mais il etait deja trop tard, la boule de mon incantation d etourdissement le frappis ausitot le rendit totallement apathique. Je profita de l ebetude des 3 derniers fusillers pour sauter de l arbre, mes pieds heurterent brutalement le sol et me retrouvit 4 m plus bas dans une position de timari la tete juste relevee pour voir mes assaillants et leur dire: "-A chacun son tour de se faire prendre a revers" Je chargis le premier fusiller qui se fi entailler de ma lame li kovan depuis le bassin jusqu a la gorge, net sans qu un cri puisse sortir de sa gorge il tomba au sol, lanssant le debut de mon combat avec ces sournois. Dans le chaos que je venais de creer, les fusils etaient tombe et tous avait pris leurs armes, grosse erreur de leur part, ils auraient pu avoir une chance en me tirant dessus, mais tant pis pour eux. Avec rapidite et dans un mouvement que seul la rapidite pouvait qualifie mon epee parti vers ma seconde cible et dans un mouvement droit et horizontal coupa la tete de l homin sans meme sentir les os sur son passage, dans une rotation j empala le troisieme de ma dague alors qu il me chargeait, ce dernier fit tomber sa tete sur mon epaule et je le senti glisser le long de mon dos dans un rale. Mon sort de peur devait etre fini a present et mon adeversaire ne serai plus long a revenir. Quant a mon etourdit, il ne letait plus mais totallement ahurri devant ma facilite a faire tomber ses 3 compagnons, je mavanci tout en marchant vers lui l epee tendu dans sa direction, mes yeux vert fixe sur lui comme une provocation, il ne pu le suporter et attaqua comme un fanatique, erreur d un novice... J esquiva et tout en sortant ma seconde dague passa derriere lui pour lui tenir la tete de la main gauche, et passer ma dague sur le cou que je venait de liberer. Mon cinquieme ou est il ? il ne partira pas je ne le pense pas, il restera se battre comme ses compagnons. Un declic, un percuteur qui vient de declencher un tir, je vis le carreau et pu a peine l esquiver dans un mouvement vers la droite faisant s enfoncer le trait dans mon epaule, il venait de se buisson, je mis aussitot mon bras valide dans mon dos attrapant ma cleven ardente et la lancant dans cette direction, les flamme lecherent le buisson qui pris aussitot feu, les feuilles tomberent les unes apres les autres faisant apparaitre le tireurs une hache plante dans la tete, il avait voulu me tirer comme un yubo, tout compte fait le chasseur aura ete malchanceux. Je ramassis mes armes les rangea toute, et me dirigea vers le bord du defile, le combat etait toujours d actualite. Tout en retirant le carreaux plante dans mon epaule, je dis: "-Et bien Inconus, maintenant vous etes a armes egales avec vos adversaires, montrez que vous savez vous battre, quant a moi je n en fairait pas plus..... Bonne route a vous" Je reparti laissant derriere moi mes 5 cadavres, et le bruit des armes qui se croisaient encore plus bas.


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