De EncyclopAtys
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Version du 10 octobre 2009 à 14:02
Ser Ishéro Warzzo. Dit: Ishwar.
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Avant toutes choses:
Un matin de l'an 2512, alors que le cycle solaire du Tria 15 Folially se levé tranquillement, le jeune Ishéro naissait dans la plus pure des traditions. Sa mère etait ravie de voir que son fils etait un beau bébé tout pale et qu'il se portait bien, malgré les quelques grammes manquants. Une fois que le guerriseur du village avait annoncé qu'il avait fini tout les excamens nessessaires et apres un peu de repos, dame Warzzo et son fils etaient autorisés à rentrer chez eux. Non pas que la batisse du guérisseur n'etait pas agreable mais avec tout les malades qui y passaient, ça serai devenu dangereux pour le jeune Ishéro. Ce jeune homin vecu des années paisibles aux côtés de sa mère et sous le regard bien vayant de Jéna, mais la non-presence de son père et les non-explications de sa mère à ce sujet, le travaillait de plus en plus au fil des cycles. Un jour de l'an 2526, etat en âge de comprendre, dame Warzzo décidait de passer aux explications au sujet du pèredu jeune homin.
- Mère: Iiiiiish ? ... Où es-tu mon enfant ? ...
- Ishéro: Je suis là mère, qui y a t'il ?
- Mère: Aurais-tu quelques instants à m'accorder ? ... J'ai une chose trés importante à t'apprendre, au sujet de ... mmm ... au sujet de ton père !
- Ishéro: Biensur mère, ça fait plusieurs cycles que j'attends ce moment, maiiiis ... ne diserant pas remplir votre coeur de peine en ravivant des souvenir troublants, j'ai sûs prendre mon mal en patience.
- Mère: Haaaa ... tu es un bon fils mon ptit Ish ... *passe la main sur le crane de son enfant*.
- Ishéro: Dites moi tout mère, je vous en prie, cessez ce suspense.
- Mère: Biensur, je comprends et voilà comment tout a commencé. Alors que ...
Ce jour là, le jeune homin voyait sa vision du monde et de l'hominité radicalement changé, d'ailleur il se dit que c'est à partir de ce jour que l'on commença à constater des marques sur son visage, plus precisement autour des yeux. Ce jour là, sa mère lui expliqua l'histoire l'hominité, passant par l'épisode du Grand Essein, du depart de ses grand-prents et de ses parents sur de nouvelles terres, etc, etc, etc ... Mais le moment qu'il l'interressait le plus, etait la disparition de son père.
- Ishéro: D'accord, d'accord mère, je comprends tout maintenant mais s'il vous plait ... qu'est-il arrivé à mon père ?
- Mère: Comme tu le sais, nous sommes des fervants serviteurs de la Karavan et les paroles de Jéna guident nos pas. Mais ce que tu ne sais pas, c'est qu'il y a plusieurs sortes de croyants.
- Ishéro: C'est à dire ? Du moment qu'on a consience que Jéna veille sur nous ... heuuu ... enfin, la foi reste la foi ? ... mmm ... j'avoue ne pas compredre, mère.
- Mère: Le souci n'est pas la croyance en elle-même, c'est que certains homins ne voient que violence et mort dans les paroles de Jéna, alors que d'autres comme ton père voient de belles et douces paroles, dignes de Jéna l'acceuilante ... comprends-tu ?
- Ishéro: Oui mère, mais quel est le rapport entre la disparition de mon père et les differentes interprétations des paroles de Jéna ?
- Mère: Ton père etait un éxcelent artisant et avait pour habitude de faire des affaires avec tout le monde ... y compris avec des homins perdus dans l'aveuglement. Comme il disait "les affaires sont les affaires et les homins restent des homins" !!!
- Ishéro: Il a été trahi par ces sales Kamis ? C'est ça, hein ?
- Mère: Peses tes mots mon enfant envers les Kamis, ils ne sont que de pauvres homins malades, ignorants, aveugles ... Tu ferai mieux de les plaindre et d'essayer de leur redonner la vue, plutot que de partir dans une violence gratuite, dont je ne pourrai etre fiere.
- Ishéro: *Ne disirant pas decevoir sa mère* Veuillez m'escuser mère, ça ne se reproduira plus et je ferais en sorte que vous soyez fiere de moi à l'avenir.
- Mère: Bien ! Pour finir, ce jour là ton père etait en pleine negociation avec des homins "malades", mais plusieurs personnes du village s'etaient rendu compte de.ces actes et alors que les affaires se deroulaient tranquillement hors du village non loin d'ici, un groupe d'extrémistes se jeta sur les homins en negociation avec ton père, commençant tout simplement un pur massacre. Comme tu t'en doutes, les Kamis eurent vite pensé que ton père etait à l'origine de cette embuscade et ... comment t'expliquer mon fils, mmm ... enfin, tu imagines tout à fait la suite, non ?
- Ishéro: Malheureusement ... oui. Mais donc, il est bien mort des mains de Kamis ?
- Mère: Effectivement, mais tout ceci ne serai pas arrivait si les extremistes n'avaient profitaient de la situation, mettant ton père dans une position inconfortable ...
A parir de ce jour là, Ishéro decidait de faire en sorte que ses parents soient toujours fiers de lui et de toujours respecter l'hominité e les paroleé de Jéna.
Chapitre I:
Le Quarta 8 Nirva au 3eme cycle de l'an 2541, restera le jour le plus marquant de la vie de cet homin. La veille de ce jour "mysterieux", Ishéro et sa mère etaient partis en plaine afin de recolter quelques matières premieres. Les matières en question etaient destinées à la confection d'une tenue que dame Warzzo desirai offrir à son fils. Cette année là, l'hiver avait ete particulierement froid et en cette fin de saison, la mère et son fils se hataient afin de rentrer se mettre au chaud dans leur petite mais confortable batisse. Alors que le panier commençait à ete bien remplis et que le cycle lunaire commençait à faire son apparition, les 2 homins affamés et fatigués decidaient de renter au camp ares cette ournée bin remlit. Le chemin n'etait pas ben long pourarriver auvilage etla fin du bois commençait à etre visible mais, alors q'is marchaiet paisiblement, le jeune homin s'arreta net !
- Ishéro: vous avez entendu mère ?
- Mère: Non ... quoi ?
- Ishéro: Il y a eu un bruit, là ! Ne bougez plus ...
- Mère: Cesses dont tes enfantillages, nous sommes presque arrivés ... reprenons.
Dame Warzzo commençait à etre à quelques metres alors que le jeune Ishéro n'avait toujours pas bougé d'un centimètre.
- Mère: Mais ... Mais que fais-tu ? tu crois que j'ai que ...
- Ishéro: Silence mère ! Je sents quelqu'un ou quelque chose de proche.
- Mère: ...
- Ishéro: Hum ... J'entends plus rien, on dirai que je fatigue. *se mit à ricaner*
- Mère: ...
- Ishéro: Bon, vous aviez raison mère, reprenons. éolé pour ce contre temps, j'espère qu vous ne m'en voulez pas trop ?
- Mère: ...
- Ishéro: Mère ? ... Où etes-vous mère ? ... Mère ??? ... MEEEERE ?
Prit de panique le jeune homin se mit à courrir en direction de sa mère mais elle n'etait plus là !!!
Alors que l'obscurité c'etait instalé dans la foret, Ishéro cherchait desesperement sa mère hurlant dans tout les sens, courant dans toutes les directions. A chaque coin d'arbre il avait l'impression de la voir au loin et relancait e plus belle sa cource.
Quelques heures avaient defilé depuis et le jeune commençait à fatiguer serieusement. Perdu au fond de la foret, inquiet pour sa mère, seul, epuisé, il decida de passer la nuit au pied d'un arbre entre deux rochers, esperant n'etre vu par quoi que ce soit ...
Chapitre II:
...