De EncyclopAtys
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[[Xiari]] avait couru au plus vite, pour quérir de l’aide. Leur groupe avait été attaqué, par des [[Frahars]] bien trop nombreux en nombre. Nul ne savait d’où ils venaient, sans doute de bien plus loin. Trop nombreux, la fuite était seule possibilité… quelques morts assurément, mais chose étrange plusieurs d’entre eux étaient emmenés, prisonniers de ces être primitifs, probablement condamnés à ne jamais revoir un lever de soleil. | [[Xiari]] avait couru au plus vite, pour quérir de l’aide. Leur groupe avait été attaqué, par des [[Frahars]] bien trop nombreux en nombre. Nul ne savait d’où ils venaient, sans doute de bien plus loin. Trop nombreux, la fuite était seule possibilité… quelques morts assurément, mais chose étrange plusieurs d’entre eux étaient emmenés, prisonniers de ces être primitifs, probablement condamnés à ne jamais revoir un lever de soleil. | ||
− | « Fyros ! Et vous amis qui êtes présents, accompagnez nous et aidons ces pauvres gens ! »<br />Et dire que certains parlent de guerre… mais face au danger, les Homins se souviennent que la sève d’Atys coule en eux ! Les visages défilaient au rythme battu par les pas. Fyros bien entendu… mais aussi Matis, Trykers et Zorais. Nombreux, venus de toute part, qu’ils soient voyageurs, marchands… une course commune pour tenter de leur mieux de sauver ceux qui respiraient encore, et chacun sait que sous cette chaleur, moindre blessure est mortelle ! | + | « Fyros ! Et vous amis qui êtes présents, accompagnez nous et aidons ces pauvres gens ! »<br /> |
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+ | Et dire que certains parlent de guerre… mais face au danger, les Homins se souviennent que la sève d’Atys coule en eux ! Les visages défilaient au rythme battu par les pas. Fyros bien entendu… mais aussi Matis, Trykers et Zorais. Nombreux, venus de toute part, qu’ils soient voyageurs, marchands… une course commune pour tenter de leur mieux de sauver ceux qui respiraient encore, et chacun sait que sous cette chaleur, la moindre blessure est mortelle ! | ||
Le sable du désert volait au loin, sous les pas de bien trop de Homins pour qu’ils puissent être comptés. Ils allaient en avant, exterminant gingos et Frahars, ne laissant que des cadavres derrière eux. D’autres étaient restés à Pyr, et bien grande fut l’idée quand quelques dizaines, voir centaines de ces créatures attaquèrent ! Quelques mains implacables, des gestes presque machinaux… survivre peut-être, oui, sans doute cela… survivre. La mort est le lot de beaucoup depuis trop de temps, aussi ne sourcille t on plus lorsqu’elle est portée. | Le sable du désert volait au loin, sous les pas de bien trop de Homins pour qu’ils puissent être comptés. Ils allaient en avant, exterminant gingos et Frahars, ne laissant que des cadavres derrière eux. D’autres étaient restés à Pyr, et bien grande fut l’idée quand quelques dizaines, voir centaines de ces créatures attaquèrent ! Quelques mains implacables, des gestes presque machinaux… survivre peut-être, oui, sans doute cela… survivre. La mort est le lot de beaucoup depuis trop de temps, aussi ne sourcille t on plus lorsqu’elle est portée. | ||
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La soirée s’était terminée à Pyr, autour d’un grand feu, à contempler les étoiles. Quelques paroles pour les amis perdus, quelques larmes parfois… la vie reprenait son cours, la vengeance étant portée. Une simple journée, mais qui ne resterait que peu rappelée… la vie est difficile sur Atys, et nul ne doit s’en retourner. | La soirée s’était terminée à Pyr, autour d’un grand feu, à contempler les étoiles. Quelques paroles pour les amis perdus, quelques larmes parfois… la vie reprenait son cours, la vengeance étant portée. Une simple journée, mais qui ne resterait que peu rappelée… la vie est difficile sur Atys, et nul ne doit s’en retourner. | ||
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Version actuelle datée du 16 avril 2022 à 06:06
« Ils… ils sont partout ! Au secours ! Aid… aidez nous ! »
La jeune Xiari entrait en ville le visage ensanglanté, blessée alors que quelques Frahars se jetaient déjà sur les gardes de Pyr, dans un nuage de sable.
Ils étaient partis très tôt de Thesos, aux premières lueurs du soleil. De longues heures de marche sous le ciel étouffant, sans trace d’ombre ni espoir d’en trouver. Fyros… les Homins des déserts, la cité de sable les attendait, aussi pressaient ils le pas pour l’atteindre au plus tard en la soirée, mais ceci était sans compter sur la chance, qui cette fois-ci leur faisait défaut.
Xiari avait couru au plus vite, pour quérir de l’aide. Leur groupe avait été attaqué, par des Frahars bien trop nombreux en nombre. Nul ne savait d’où ils venaient, sans doute de bien plus loin. Trop nombreux, la fuite était seule possibilité… quelques morts assurément, mais chose étrange plusieurs d’entre eux étaient emmenés, prisonniers de ces être primitifs, probablement condamnés à ne jamais revoir un lever de soleil.
« Fyros ! Et vous amis qui êtes présents, accompagnez nous et aidons ces pauvres gens ! »
Et dire que certains parlent de guerre… mais face au danger, les Homins se souviennent que la sève d’Atys coule en eux ! Les visages défilaient au rythme battu par les pas. Fyros bien entendu… mais aussi Matis, Trykers et Zorais. Nombreux, venus de toute part, qu’ils soient voyageurs, marchands… une course commune pour tenter de leur mieux de sauver ceux qui respiraient encore, et chacun sait que sous cette chaleur, la moindre blessure est mortelle !
Le sable du désert volait au loin, sous les pas de bien trop de Homins pour qu’ils puissent être comptés. Ils allaient en avant, exterminant gingos et Frahars, ne laissant que des cadavres derrière eux. D’autres étaient restés à Pyr, et bien grande fut l’idée quand quelques dizaines, voir centaines de ces créatures attaquèrent ! Quelques mains implacables, des gestes presque machinaux… survivre peut-être, oui, sans doute cela… survivre. La mort est le lot de beaucoup depuis trop de temps, aussi ne sourcille t on plus lorsqu’elle est portée.
« Un survivant ! Il y a un survivant ! »
Chance que l’on ait pu en trouver quelques uns qui n’étaient encore morts ! Six au total, dispersés dans toute la région ! La peur prenait au ventre la jeune Xiari, sans nouvelle, restée à Pyr. Combien pourrait elle de nouveau saluer … L’angoisse de l’attente, sans aucune nouvelle à apprendre… alors lorsque le premier visage familier se présenta le plaisir fut grand. Peu importaient les perdus, les larmes étaient de joie, pour ceux que l’on avait revu.
Les Homins réunis avaient traqué les Frahars jusque dans les lieux les plus reculés, au plus profond des antres du désert. Longue colonne armes levées qui progressait pour le bonheur de quelques autres, nombre d’homins tombés ou blessés en cette journée. Folie … Non… entraide, et amitié. Ainsi vivent les gens du désert, et longtemps ils continueront.
La soirée s’était terminée à Pyr, autour d’un grand feu, à contempler les étoiles. Quelques paroles pour les amis perdus, quelques larmes parfois… la vie reprenait son cours, la vengeance étant portée. Une simple journée, mais qui ne resterait que peu rappelée… la vie est difficile sur Atys, et nul ne doit s’en retourner.