De EncyclopAtys
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Version actuelle datée du 27 novembre 2006 à 22:08
Sommaire
Chroniques
Chronique Onzieme
Tannick Ar Erminig Ru
Les voies commencaient a gronder sur le marche de Pyr, cela faisait bien des lunes que je n y avais pas mis les pieds. Mon recents voyage des les Primes racines m avait si longtemps coupe de la civilisation que jen avais oublie tout ce bruit. Le calme des soutterrains commencait a me manquer, cependant le manque de vie qui y regnait me poussait plus en avant vers cette tumulte d Homins. Peut etre avec un peu de chance je pourrais la revoir cette douce Fyros aux yeux bleu, celle qui avait su, encore plus que Lei, m adoucir le coeur. Je m attardais d etale en etale regardant chaque produit sans les voirs, appreciant chaque gravure sur les boucliers sans les visualiser. Tout monattentione tait aux personnes que je croisais, peut etre, enfin j esperais pouvoir la croiser. Devant la boutique de son pere, je me retrouvis a rever avant de constater que le volet etait clos. Aucune marchandise n etait en vente, rien ne montrait une activite quelconque dans le magasin. Intrigue par ceci j interpela le marchand tenant l echope voisine: "- Excusez moi... Mais pourquoi le magasin de la famille Cence est il ferme ? - Vous ne savez donc pas ? Il se mit a rire de facon forcee. La fille du vieux avait eu la mauvaise idee de s amourancher d un militaire, un de ses fou d idealiste qui pense que le faite de porter une arme peu calmer les esprits. Enfin tout ca pour dire que l'vieux il a suivis sa fille qui est partie sous l ecorce pour le retrouver son yubo d amour..... *long silence* Il etait revenu lui ..... oui lui seul, elle, elle doit encore etre a jouer de trophee a une tribu de la route des ombres, lui par contre il avait perdu un bras et ..... sa raison aussi ..... - Comment ca.... Etait revenu ? il est reparti ? - Euh non l es pas reparti le vieux bougre .... enfin si..... les kamis l ont rapele, il etait amoche le pauvre. Il a pas survecu, il a..... euh comment dire..... succombe a ses blesssures. C etait les 2 derniers Cence de Pyr, un vieux collegues que cetait le vieux.... Les yeux du fyros commencait a rougir les larmes a pointer au bords de ses paupieres, chaque mot dit etait comme une lame decoupant son coeur meme si il faisait tout pour le masquer. -Merci, le coupis je. C est tout ce que je voulais savoir." Je posis alors ma main sur son epaule et l empogna comme pour lui dire que je le comprenais, mais c etait la la seule chose faisable pour le reconforter, si jamais je pouvais le reconforter. Elle etait donc parti me chercher dans les primes alors que moi meme je cherchais mes parents. Mon ame commenca a se tordre de douleur. Elle etait parti et plus jamais je ne pourrais voir son sourrire, plus jamais je ne lui fairai decouvrir le desert lors de nos balades a la tombe de la nuit. Bien des choses viennent de se clore..... tant de souvenir avec elle..... et maintenant ce sont bel et bien des souvenirs, des reliques du passe.
Je m en allais dans les allees du marche, perdu dans mes songes et trouble par ma peine. Je commencais a me faire balloter par les gens passant autour de moi, d un coup d epaule a un coup de coude, je me retrouvis expulse de la foule, et je trebuchis sur une charmante Fyros. Gene je me resaisis, aidant la demoiselle a se relever a son tour. Amusee elle me fit un large sourrire, belle recompense pour peu qu elle etait, mais insuffisante pour soigner mon coeur blesse et meurtri.
Je me decida a quitter ce lieu de bruits et de poussieres, et me dirigea vers la porte nord de la ville et je me mis a suivre le vent comme je le fis lors de mes voyages en Aedden Aqueous. Je passais les dunes apres les autres en direction de l ouest, quand l oasis d Oflovak commenca a se dessiner face a moi, sur un fond de falaise imposante, toute cette eau semblait salutaire a un repos.
Au pied d un arbre, une forme, allongee..... Qu etait ce, ou qui etait ce? je m approchis doucement et decouvri une jeune fyros qui semblais extenuer. A rester ainsi, elle se fairai devorer avant le leve du soleil, soit je resterais la jusqu a son reveil afin qu aucune bete ne vienne la deranger pendant son repos. De plus de voir cet jeune homin etait comme un reconfort, je pouvais veiller sur cette Fyros, comme pour palier au manque de protection a l homin de mon coeur.
Nathou
Ouvrant doucement mes yeux, je vis cet homin qui m effraya tous vetu de noir. Il se presenta a moi avec une voix si douce qu elle apaisa rapidement toutes mes craintes. On parla un petit moment. Il me demanda d ou je venais et qu est ce que je faisais seule ici et je me mis a lui raconter ce qui c etait passe dans mon village jusqu au moment present. Il ecouta paisiblement mon recit. Le soleil commenca a bien monter dans le ciel et il me proposa d aller nous refugier dans la ville de Pyr car dans le desert il ni a aucun endroit sur, et c est ce que nous fimes. Et nous parlions tout en traversant cette immensite de sable qui me semblait sans limite et sans fond, avec ses animaux que je redoutais tant. Et nous arrivons a Pyr, cette ville immense que tant de monde dans mon village parlait, au point que celci ma fesait peur avec son amplitude, ses grandes murailles taille dans la roche et par la fumee sortant de son enceinte. Quand on y entra, un brouhaha se fit recentir, tant de monde... Par la suite, il me presenta a plusieurs de ses feres d armes, nous fimes beaucoup de sorties et de chasses ce qui me rapprocha d eux... soit de vous.
Chronique Douzième
Mon retour est camp n'est plus si récent, même si mona ctivité fut réduite par ces traces que les kitins ont laissés sut mon corps. Marque qui sont présente autant dans mon âme, elle sont le rappel que j'ai perdu Lei, mon ami, ma confidente, ma muse des fleurs de Mai...... M'awen nous a quitté il y a bien des lunes a présent, tout cela par mon incompétence. Quelle leçon d'humité pour un maitre d'armes de ne pouvoir protéger ceux que l'on aime face à l'envahisseur.
Noir, noir était cette journée dans les primes racines, Portes de l'obscurités, quel nom si judicieusement trouvé pour ce lieu qui furent les portes de ma perdition et de l'assombrissement de mon coeur. Plus le temps passe, plus mes nuits sont à l'image de ce lieu, plein de beauté triste. La beauté de ce sentiment que j'éprouvait pour celle qui comptait le plus pour moi, celle qui s'avait en une faitisie qui lui était propre me faire prendre le sourrire malgré le sérieux que je ne savais quitter à l'époque. La tristesse de se faire voler ce sentiment par un coup de griffe.
Ces griffes venu d'ont de je ne sais où qui nous séparèrent......
Maintenant, je peux enfin marcher sans l'aide de mes béquilles, même si la surface est à présent guérit malgré les marques. La chair est quant à elle marqué pour toute ma vie, et mon âme pour l'éternité. Je peux enfin retrouver mes copagnons et m'entrainer avec eux comme si je voulais laver mon esprit dans le sang de ces kitins, leur fair payer le mel qu'il ont pu faire à l'homin et surtout à moi.
Le pays Tryker, ce continent d'Aedden Aqueous, ce merveilleux pays bercé par le vent et le resac des ses lagunes. Pays de douleur féérique, endroit de ma rencontre avec elle, pays de toute mes tourmentes, mais il est temps pour moi d'affronter mes fantômes et de leur faire face. Il ne faut pas s'abattre sur ceux que l'on a perdu, même si leur présence est irrenplaçable. Je pris donc le courage d'aller en cette contrée afin de combattre ceux qui sont le fléau de l'hominité et de mon coeur.
Les passages sont escarpées entre les différents niveaux que représente les lacs. Passser sous une cascade collé à la paroi. Nager d'une rive à l'autre tout en s'émmerveillant de ces décors dont on ne peut se lasser.
Aprè sun certain effort depuis notre rendez vous à Fairhaven avec les Libres, nous voyons enfin un camp, celui des Corsaires. Après tant d'eau et d'escarpement, enfin des traces de civilisations, ces trykers sont bon avec les voyageur et sont toujours prêt à leur offrir repos si leur voyage est long. Nous n'en avons pas le besoin, nous avons pris nos précautions avant de partir, nos sacs sont plein, nos armes prêtes et bien rangées dans nos sacs. Nous arrivons à leur camps et commençons à le traverser.
Une voix.....
Si familière.....
Messire Gwido, Messire Krijlor, Dame Palka, Messire Acheran, Dame Nathou, nous restons tous stupéfait par cette Tryker qui nous arrête. Cette coiffure, deux couettes d'un bleu si clair, ce visage sans tatouage, mais cela ne peut me leurrer, je la reconnaitrais entre mille. Tous semble retrouver en cette voix, ce visage, celle que j'ai osé perdre, malgré mon serment de Libre Frontalier. Et là, une foule, une nuée de sentiment qui m'agresse et qui me déborde de toute part; joie, tristesse, mélancolie...... le tout me faisant rentrer dans une douce folie sous fond de joie incommensurable. Lei tu es de retour..... Mis ce sourrire est bien différent, cette expression du visage n'est pas la sienne, comme si quelqu'un d'autre utilisait le visage de m'awen pour faire parler son coeur. Un coeur empli de doute et d'interrogation.
Nous discutons, je perds la tête en m'appercevant qu'elle est bien cette ombre noir, mais qu'une ombre noir s'est posé sur sa mémoire. Elle ne sait plus, ne connait plus personne. Mais malgré tout c'est elle.
Et si c'est elle, nous avons du temps à rattraper......
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