Wu-Song

De EncyclopAtys

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Signifie : "Le Grand Pélerin"

Vieux sage. Il guida une cohorte d'homins de toutes races sur les routes de l'exode et leur enseigna sa sagesse et ses préceptes. 3 jeunes zorais, Ardjuna, Mohi et Wong Fei-Hung, nés sur les routes rejoignirent Zora pour fonder le Clan des Fils du Wu-Song afin d'enseigner ses prières de paix aux réfugiés des nouvelles terres. Ils furent rejoints plus tard par Altamira, de quelques années leur ainée qui était partie avant eux et dont ils ignoraient les origines identiques.

Quelques paroles de Wu-Song :

« J'ai chéri ce monde Et l'ai entouré comme une vrille végétale avec chaque fibre de mon être ! La lumière et la ténèbre de la lune mêlée au soir Ont flotté parmi ma conscience, en elle se sont fondues, Tant qu'à la fin ma vie et l'univers Sont un ! J'aime la lumière du monde, j'aime la vie en elle-même.

Pourtant ce n'est pas une moindre vérité que je dois mourir. Mes mots, ils cesseront un jour de fleurir parmi l'espace ; Mes yeux, jamais ils ne pourront plus se livrer à la lumière ; Mes oreilles s'entendront plus les messages mystérieux de la nuit, Et mon coeur Il ne viendra plus en hâte au fougueux appel du soleil levant ! Il faudra que je prenne fin Avec mon dernier regard, Avec ma dernière parole !

Ainsi le désir de vivre est une grande vérité, Et l'adieu absolu, une autre grande vérité. Pourtant doit se produire entre eux une harmonie ! Sinon la création N'aurait pu supporter si longtemps souriante L'énormité de la fraude ! Sinon la lumière aurait déjà noirci, comme la fleur dévorée par le ver ! »

Wu-Song, 2482



"Je n'ai pas pris un chemin de grandeurs ni de prodiges qui me dépassent. Non, je tiens mon âme en paix et silence; comme un petit enfant contre sa mère, comme un petit enfant, telle est mon âme en moi."



Nous ne sommes pas des errants, Nous ne partons pas à l'attaque, Nous n'avons pas de terre à vendre, Nous n'avons pas de terre à prendre, Nous ne sommes pas des marchands, Mais des chercheurs, quêteurs de grâce.

L'étoile qui scintille aux yeux des plus ardents A éclairé les nôtres. De la compassion, Nous avons éprouvé toute la profondeur. Nous rectifions les tracés anciens de la connaissance. Ensemble, nous fonderons une culture nouvelle ; Nous, pour qui l'univers n'est qu'un reflet tremblant, Irons chercher par les sentiers inexplorés Où poser nos pas éphémères.



« Admirez Atys dans sa parure verdoyante et regardez comment les rivières ont ourlé de fils d’argent les pans de sa robe. »

« Le chant des oiseaux est le même dans la forêt et dans la jungle ; le chant du vent est le même dans le désert et sur les lacs ; le chant d’Atys appartient à tout homin qui possède des oreilles pour l’entendre. Ce sont les battements du cœur des homins qui rythment les rivières de sève d’Atys »

« Faites de votre sourire le reflet de la beauté et de la lumière d’Atys et vous aurez contribué grandement à l'oeuvre de la paix. »

« Si chaque pas posé sur Atys est une prière, qu’elle soit adressée à Ma-Duk ou à Jena, alors vous progresserez toujours dans le respect du sacré. Alors votre pas sera sacré. »

«Le ciel dure, Atys persiste. Qu'est-ce donc qui les fait persister et durer ? Ils ne vivent point pour eux-mêmes. Voilà ce qui les fait durer et persister. »